Affaire conclue : Des nouveautés inédites vous attendent dans le prime ce vendredi

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Ce vendredi 12 décembre 2025, France 3 diffuse un prime inédit d'Affaire conclue, la célèbre émission d'enchères présentée par Julia Vignali, sur le thème du conte de fées. À cette occasion, la production a décidé de mettre en place un dispositif exceptionnel. Une première dans l'émission !

Il était une fois... un prime féerique. Depuis 2017, Affaire conclue - dont la saison 9 est actuellement diffusée sur France 3 - enchante les amateurs de brocantes et de ventes aux enchères. Après avoir été incarné pendant un temps par Sophie, c'est aujourd'hui Julia Vignali qui est aux commandes de l'émission. Et le succès du magazine diffusé du lundi au samedi ne faiblit pas. En moyenne, chaque quotidienne fédère 1,2 million de téléspectateurs, soit 16 % du public, depuis le début de l'année 2025. À l’occasion des fêtes de fin d’année, la Trois a décidé de vous régaler avec un prime exceptionnel tourné au cœur d’un lieu chargé d’histoire : le château d’Ussé (en Indre-et-Loire). Un édifice digne d'un véritable conte de fées puisqu'il aurait inspiré à Charles Perrault le conte de La Belle au bois dormant.

Dans une ambiance de conte de Noël, Julia Vignali vous accueillera ce vendredi 12 décembre à partir de 21h10 pour un prime inédit composé d'une dizaine d’expertises menées par les visages emblématiques du magazine : Harold Hessel, Marie Renoir, Yves Cosquéric et Enora Alix. Les commissaires-priseurs vous dévoileront l'histoire des objets apportés par les vendeurs. Parmi eux : un carnet de bal en or et nacre, une vitrine Gallé Art nouveau, un vase Rousseau, un médailler Napoléon ou encore une céramique Fernand Léger. Une soirée magique mêlant patrimoine, émotions et enchères d'exception sur France 3.

Affaire conclue : un dispositif inédit mis en place pour le prime de Noël, ce vendredi 12 décembre 2025

Afin de rendre ce prime encore plus merveilleux, la production d'Affaire conclue a imaginé un dispositif d’enchère encore jamais vu dans l’émission. Les acheteurs seront soumis à différents types de vente exclusifs. En plus de la vente classique déjà utilisée dans les quotidiennes, il y aura des enchères sous plis cachetés. Après observation des biens, les marchands d'art s’isoleront pour faire une seule offre. Celui ou celle avec la proposition la plus élevée remportera alors la vente.

Vous assisterez aussi aux enchères à la bougie. Durant cette séquence, trois bougies seront allumées et chacune brûlera 30 secondes. Au total, les acheteurs auront 1 minute 30 pour enchérir. Ils devront donc faire preuve de sang-froid pour résister à la pression. De quoi rendre ces enchères encore plus surprenantes. "C'était une vraie excitation de participer à ce prime parce qu'il remettait au goût du jour des pratiques ancestrales. Ça fait partie des traditions de notre métier, dont on n'avait plus du tout l'habitude. C'est très stimulant d'essayer des choses nouvelles. J'adore sortir de ma zone de confort. C'est une première qu'on n'avait pas testée dans les quotidiennes et à aucun autre moment", nous confie Marie du Sordet en interview.

Et d'ajouter : "Cela nécessite d'avoir une vraie connaissance du produit et de savoir réellement jusqu'à combien on est prêt à mettre. Il y a quand même une vraie mise en danger. Ce n'est pas une vente aux enchères classiques. On peut payer quelque chose beaucoup plus cher que ce que les autres sont prêts à mettre".

Propos de Marie du Sordet recueillis par Agnès Frémiot.

Découvrez en images : Affaire conclue : découvrez les acheteurs phares de l'émission qui font grimper les enchères !

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Germain Sastre

Mon point commun avec Sophie Ferjani, architecte d’intérieur et animatrice, ou encore avec Julian Bugier, le visage du 13h de France 2 ? Nous partageons la même terre d’origine : Blois. C’est dans ce fief parmi les fiefs que se sont écrit des pans entiers de l’Histoire et où ont défilé Louis XII, François Ier, Catherine de Médicis… Rien détonnant, finalement, à ce que je collabore quelques années plus tard avec Stéphane Bern, expert des têtes couronnées. Un destin tout tracé ? À la maison, ma famille a toujours vibré au rythme du tube cathodique. "Coucou, c’est nous !", "Qui est qui ?", "Union Libre", "Tout le monde en parle", la "Star Academy"… Toutes ces émissions cultes font partie de mon Panthéon de la télévision et ont façonné mon goût pour ce milieu. N’oublions pas "La Trilogie du samedi" sur M6 avec notamment la série "Buffy contre les vampires", que je regarde encore religieusement une fois pas an (Testez-moi, je suis incollable !). Après le Bac, Lyon m’a accueilli pour quatre années d’école de commerce, puis direction Paris afin de devenir journaliste. C’est à cette période, entre deux exercices de reportage, qu’un professeur m’a lancé (en plaisantant, j'espère) que j’avais "un physique de radio". Une blague qui m’a porté chance puisque j’y ai passé treize ans. NRJ, Europe 1, mais surtout RTL. C'est au sein de la station rouge que j'ai joué les couteaux suisses, passant des flashs et journaux de nuit aux enquêtes pour Julien Courbet dans "Ça peut vous arriver", jusqu’au poste de chroniqueur dans "On refait la télé", aux côtés d’Éric Dussart et Jade. Cette dernière aventure m’a ouvert les portes de la rédaction de Télé-Loisirs en 2022 où je suis désormais journaliste médias. Depuis, je rode dans les coulisses du PAF pour décrypter la mécanique de vos émissions préférées à l’instar de "C à Vous", "Un dimanche à la campagne", "Rendez-vous en terre inconnue" ou encore "Les Traîtres". Expert en télé-crochets, "The Voice" n'a plus de secrets pour moi. Seize ans après mes débuts, je jubile toujours autant à l'idée de découvrir les ficelles de cet univers avec lequel j’ai grandi. Parce qu’au fond, tout est parti de là. Quoi qu'on en dise, je suis et je resterai un enfant de la télé.

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