Julien et Floriane, couple formé grâce à la saison 3 de L'amour est dans le pré, fêtera bientôt ses 15 ans de mariage lors du grand anniversaire de l'émission sur M6. Ils se confient à Télé-Loisirs sur le dernier projet de Floriane.
Ils font partie des "dinosaures" de L'amour est dans le pré comme ils aiment le dire eux-mêmes. Julien et Floriane, couple formé grâce à la troisième saison de l'émission sur M6, seront de la fête le lundi 8 décembre prochain lors des 20 ans du programme animé par Karine Le Marchand. Après avoir renouvelé leurs vœux de mariage lors du tournage, les deux tourtereaux se sont confiés à Télé-Loisirs dans le cadre d'une interview. À cette occasion, Floriane s'est épanchée sur son nouveau projet, celui de l'élevage canin. "C'est en développement. Je suis double active. J'ai la passion des enfants, je suis toujours assistante maternelle. Je le resterai. Et j'ai une passion qui est l'élevage canin sur les races peu connues", nous indique-t-elle. En l'occurrence, elle se focalisera sur les Pomsky. "Je débute mais je suis très investie et passionnée. La prochaine portée, ce sera à Noël", prévoit celle qui a deux femelles à la maison.
Pas question pour Floriane de mettre de côté sa profession d'assistante maternelle, ce qui inclut donc quelques aménagements pour l'élevage qu'elle souhaite faire chez elle. "Il ne faut pas lier les deux. Il y a des règles des deux côtés, il faut les respecter. Mon but est d'élever en élevage familial. Les chiennes sont à la maison et resteront à vie avec nous, même quand elles ne pourront plus reproduire. Ce sera une à deux portées par an", précise-t-elle. Julien, de son côté, a mis fin à son exploitation. "C'était dur, heureusement que ma femme était là. C'était un métier de passion mais avec quatre enfants, je devais être plus serein au moment de m'endormir chaque nuit", ajoute-t-il pour évoquer l'aspect financier de son métier.
"Il vivait avec 300 euros par mois" : Julien et Floriane (L'amour est dans le pré saison 3) se confient sur leurs difficultés financières
Floriane, pour conclure sur le sujet, précise : "Il y avait quand même 150 vaches laitières. Mais il y a beaucoup d'emprunts. Il vivait avec 300 euros par mois, une fois tout remboursé. Ce n'est pas possible". Elle se permet alors un parallèle avec sa nouvelle activité. "L'élevage canin, c'est pareil. C'est très difficile d'en vivre. Je reste assistante maternelle, je vais essayer d'être double active. Je ne vais pas m'ennuyer", prédit-elle.
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Né dans un coin rural de la Loire à la fin des années 90, à quelques kilomètres des villages où vivent certains des agriculteurs les plus emblématiques de L'amour est dans le pré sur M6, je me souviens avoir grandi avec le poste de télévision (très) souvent allumé. Combien de samedis soir ai-je passé devant Fort Boyard sur France 2 ? L'occasion pour mes parents de me laisser manger une glace au chocolat sur le canapé… Double dose de bonheur ! Je me rappelle aussi de mon excitation à chaque grand lancement d'une saison de la Star Academy sur TF1, de Nikos qui apparaît sur mon écran et des hymnes successifs qui ont façonné la bande originale de mon enfance. La Musique de Nicoletta, Musique de Michel Berger, La bamba de Ritchie Valens chantée par la promotion de la saison 3. Le tout premier concert de ma vie à la Halle Tony Garnier de Lyon. Au fil des années, je me repasse en boucle chaque prestation de Myriam Abel, Amandine Bourgeois et Yseult dans Nouvelle Star, je « jibule » devant chaque trahison dans Koh-Lanta, je soutiens fougueusement chaque représentant de la France à l'Eurovision (sauf les Twin Twin) et je salive à chaque dégustation de Top Chef. Journaliste dans un quotidien national pour ma toute première expérience professionnelle, j'ai des étoiles dans les yeux lorsque je me rends sur un plateau de tournage ou lorsque j'interviewe un candidat ou un animateur. Lorsque j'arrive à la rédaction de Télé-Loisirs à la rentrée 2022, je suis tout de suite dans le grand bain avec un reportage à Dammarie-les-Lys pour le retour de la Star Academy. Le rêve se poursuit… Et il ne s'est pas arrêté là. J'ai assisté à la passation de pouvoirs entre Sophie Davant et Julia Vignali dans Affaire conclue, j'ai dîné à la table de la finale de Top Chef, je me suis rendu à l'Élysée, j'ai partagé un repas avec Frédéric Lopez dans sa maison à la campagne (mais pas un dimanche). Le reportage le plus cher à mon cœur est et restera le voyage de préparation des 30 candidates à Miss France 2024 à l'autre bout du monde, en Guyane, et l'élection d'Ève Gilles à Dijon un mois plus tard. Le souvenir de la clameur du public dans ce zénith me donne encore la chair de poule. Maintenant que je ne suis plus un enfant, je passe mes dimanches soir devant Zone Interdite et Capital, je dîne devant C à vous et Quotidien et il m'arrive de rattraper Quelle Époque en replay parce que vraiment, ce programme se finit trop tard dans la nuit. Mais depuis mes premiers souvenirs de télé, une chose n'a pas changé : je suis toujours aussi émerveillé par chaque programme, comme l'était le petit garçon que j'étais.
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