
Publié le 12/12/2025 à 12:02
À la suite de la destitution de Miss Provence et Miss Aquitaine à cause de leur propos insultants envers d'autres candidates le soir de l'élection de Miss France 2026, le comité Miss Aquitaine a expliqué pourquoi leur représentante Aïnhoa Lahitete ne sera pas remplacée dans ses fonctions.
À chaque élection sa polémique. Le 6 décembre dernier, la ville d'Amiens accueillait la cérémonie de Miss France 2026 sur la scène de son Zénith. Une soirée remplie de magie et d'émotion qui s'est conclue par le sacre d'Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti 2025. Chaque année, le couronnement fait un véritable carton d'audience sur TF1, et cette édition n'a pas failli à la tradition. En moyenne, 6,7 millions de téléspectateurs (avec un pic à 7,7 millions) ont suivi la victoire de la Tahitienne de 23 ans ce soir-là, selon Médiamétrie. Mais la cérémonie présentée une nouvelle fois par Jean-Pierre Foucault a été entachée par une polémique qui s'est déroulée dans les coulisses.
En cause ? Une vidéo avec Julie Zitouni (Miss Provence 2025) et Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine 2025), tournée le soir de l'élection et publiée le lendemain par l'influenceur Aqababe sur le réseau social X. On peut y voir les deux candidates, après leur élimination, tenir des propos offensants sur les Miss régionales retenues dans le top 12 en les traitant de "grosses p*tes". Face au tollé provoqué par la vidéo, les deux intéressées ont présenté leurs excuses, mais le mal était fait. Deux jours après l'élection, les comités Provence et Aquitaine ont prononcé la destitution de Julie Zitouni et d'Aïnhoa Lahitete de leur titre respectif. "Ces paroles et cette attitude sont en totale contradiction avec les valeurs que les comités s'efforcent de défendre. Il s'agit d'une décision lourde de conséquences, mais nécessaire", pouvait-on lire dans un communiqué.
Miss France 2026 : le comité Miss Aquitaine réagit aux rumeurs de remplacement de sa candidate Aïnhoa Lahitete
À la suite de cette mesure exceptionnelle, beaucoup de médias ont relayé l'information selon laquelle Miss Provence 2025 et Miss Aquitaine 2025 seraient remplacées dans leur fonction. Mais contrairement à ce qui a été annoncé, ce ne sera pas le cas. Lydia Podossenoff, la déléguée régionale des comités Miss Provence et Miss Côte d'Azur, l'avait déjà confirmé à Télé-Loisirs. "Sa première dauphine (...) va certainement vouloir se représenter l'année prochaine. Parce qu'il faut savoir que, même si l'on devient Miss régionale en cours d'année, on ne peut plus candidater l'année suivante. Cela voudrait dire que l'aventure s'arrête ici pour elle. Et puis, ce n'est pas si évident de récupérer un titre suite à une destitution", avait-elle souligné.
Ce jeudi 11 décembre, le comité Miss Aquitaine a également pris la parole à ce sujet dans une story publiée sur son compte Instagram. "Le comité Miss Aquitaine tient à démentir certaines informations parues concernant l'attribution du titre de Miss Aquitaine 2025 à la 1re Dauphine. Jusqu'à la prochaine élection régionale de Miss Aquitaine 2026, l'ensemble de nos invitations seront honorées par nos Miss régionales déjà titrées et/ou les dauphines de la promotion de Miss Aquitaine 2025", a-t-il été indiqué.
Du côté de la société Miss France, le président Frédéric Gilbert a révélé qu'il réfléchissait à réguler l'usage du téléphone portable des Miss régionales durant l'élection. "Je me pose la question. Si je l'interdis pendant la cérémonie, elles pourront faire ça le lendemain. Mais la question est ouverte. Forcément", a-t-il assuré.
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Mon point commun avec Sophie Ferjani, architecte d’intérieur et animatrice, ou encore avec Julian Bugier, le visage du 13h de France 2 ? Nous partageons la même terre d’origine : Blois. C’est dans ce fief parmi les fiefs que se sont écrit des pans entiers de l’Histoire et où ont défilé Louis XII, François Ier, Catherine de Médicis… Rien détonnant, finalement, à ce que je collabore quelques années plus tard avec Stéphane Bern, expert des têtes couronnées. Un destin tout tracé ? À la maison, ma famille a toujours vibré au rythme du tube cathodique. "Coucou, c’est nous !", "Qui est qui ?", "Union Libre", "Tout le monde en parle", la "Star Academy"… Toutes ces émissions cultes font partie de mon Panthéon de la télévision et ont façonné mon goût pour ce milieu. N’oublions pas "La Trilogie du samedi" sur M6 avec notamment la série "Buffy contre les vampires", que je regarde encore religieusement une fois pas an (Testez-moi, je suis incollable !). Après le Bac, Lyon m’a accueilli pour quatre années d’école de commerce, puis direction Paris afin de devenir journaliste. C’est à cette période, entre deux exercices de reportage, qu’un professeur m’a lancé (en plaisantant, j'espère) que j’avais "un physique de radio". Une blague qui m’a porté chance puisque j’y ai passé treize ans. NRJ, Europe 1, mais surtout RTL. C'est au sein de la station rouge que j'ai joué les couteaux suisses, passant des flashs et journaux de nuit aux enquêtes pour Julien Courbet dans "Ça peut vous arriver", jusqu’au poste de chroniqueur dans "On refait la télé", aux côtés d’Éric Dussart et Jade. Cette dernière aventure m’a ouvert les portes de la rédaction de Télé-Loisirs en 2022 où je suis désormais journaliste médias. Depuis, je rode dans les coulisses du PAF pour décrypter la mécanique de vos émissions préférées à l’instar de "C à Vous", "Un dimanche à la campagne", "Rendez-vous en terre inconnue" ou encore "Les Traîtres". Expert en télé-crochets, "The Voice" n'a plus de secrets pour moi. Seize ans après mes débuts, je jubile toujours autant à l'idée de découvrir les ficelles de cet univers avec lequel j’ai grandi. Parce qu’au fond, tout est parti de là. Quoi qu'on en dise, je suis et je resterai un enfant de la télé.
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