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Marilou Berry et Josiane Balasko vont camper un duo mère / fille sur la scène du théâtre des Bouffes Parisiens dès le mois de janvier. Invitée sur le plateau de Quotidien, l'actrice de Gazon maudit a dévoilé le chantage que lui a fait sa fille, adolescente, pour devenir actrice.
La réalité va rejoindre la fiction. Marilou Berry et Josiane Balasko vont monter sur scène ensemble pour la première fois aux Bouffes Parisiens dès le 23 janvier 2026 pour camper, sur scène, un duo mère / fille, dans la pièce Ca, c'est l'amour. La maman d'Andy a choisi de suivre les traces de sa mère, dont la popularité n'a fait que croître depuis le début de sa carrière. "J'ai beaucoup de chance. Ma mère est quelqu'un d'extrêmement populaire, qui est extrêmement aimée, qui déclenche beaucoup de bonheur chez les gens et qui m'a éclaboussé aussi", avait confié Marilou Berry à Mouloud Achour dans Clique. Elle avait néanmoins ajouté que certains des rôles de sa mère avaient pu lui rendre la vie difficile à l'adolescence. De son côté, celle qui a été membre de la Troupe du Splendid avait révélé que sa fille avait refusé qu'elle l'aide à ses débuts dans le métier d'actrice. "C'est une grosse bosseuse. Au départ, il ne fallait pas que je me mêle de ce qu'elle faisait parce qu'elle voulait se débrouiller seule. Aujourd'hui, les gens m'arrêtent dans la rue pour me dire qu'ils adorent ma fille. Maintenant, je suis la mère de Marilou Berry !", avait-elle indiqué dans les colonnes de Télé Star.
Les deux femmes étaient les invités de Yann Barthès dans Quotidien ce jeudi 11 décembre, afin de faire la promotion de la pièce qui les réunit. L'animateur leur a demandé si elles avaient vécu des crises dans leur relation. "Ca s'appelle l'adolescence", lui ont-elles répondu de concert, amusées. "Les portes claquaient et quand elle a décidé d'être comédienne. Elle m'a fait un chantage odieux", a ajouté Josiane Balasko. "Je n'ai aucun souvenir de cette anecdote", a pris la peine de préciser Marilou Berry. Mais comme l'a rappelé l'animateur, si elle a joué la comédie, c'est bien parce que sa mère l'a mise devant la caméra. "Il faut quand même préciser que souvent tous les réalisateurs mettent dans leurs films leurs amis, leurs enfants, leurs chiens...", l'a défendue Marilou Berry.
Cette réflexion de Marilou berry qui a fait halluciner Josiane Balasko
Après quelques minutes, Josiane Balasko a enfin dévoilé "l'odieux chantage" que lui a fait sa fille pour jouer la comédie. "Vers 16 ans, elle a trépigné du pied en disant 'si je ne suis pas actrice, je pars faire le tapin à Los Angeles'", a-t-elle raconté. Marilou Berry a insisté sur le fait qu'elle ne gardait aucun souvenir de ça. "Hallucinée", Josiane Balasko a pourtant gardé la tête froide insistant sur le fait que sa fille devait trouver une école où elle puisse apprendre le théâtre, avant de se lancer. "Parce qu'elle était nulle à l'école. C'était de famille", a-t-elle précisé.
Comme l'a souligné la complice de Gérard Jugnot, Marilou Berry, enfant de la balle, connaissait déjà très bien les contraintes d'un tournage avant de se commencer sa carrière d'actrice. "J'ai appris très vite à ma fille à savoir ce que c'était qu'un film, elle venait avec moi partout, au bruitage, au montage, sur le plateau. Elle savait que c'était un métier, c'est pas juste on vous maquille et vous vous tortillez un petit peu devant une caméra", a-t-elle contextualisé.
Découvrez en images : Marilou Berry et Josiane Balasko, Lily-Rose et Vanessa Paradis... Telle mère, telle fille !
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Véritable enfant de la télé, j'écris depuis des années sur le petit écran et les séries. Journaliste et fan inconditionnelle de Friends et fille spirituelle de Dorothée, je ne loupe pas un épisode de Koh-Lanta, L'amour est dans le pré, Mask Singer, ou Affaire conclue... et je nourris une véritable passion pour la Star Academy. En 1987, j'ai assisté à l'arrivée de Dorothée sur TF1. Pendant les années suivantes, j'ai passé mes mercredis après-midis, mes goûters quotidiens et mes dimanches matins devant les émissions de la reine du divertissement pour enfants. Dix ans plus tard, j'ai manqué ses adieux, trop occupée par ma vie estudiantine. Les années 2000 ont été un véritable Eldorado pour la téléphage que je suis, entre l’avènement du Loft, les débuts de la Star Academy et l'arrivée de Koh-Lanta. J'ai passé des soirées Nouvelle Star à attribuer des rouges et des bleus, mais aussi à commenter l'émission ici ou là lors de live-blogs, les prémices des réseaux sociaux. Et je ne parle même pas des séries ! Je peux écraser une larme en entendant le jingle de la Trilogie du samedi. J'ai adoré Buffy contre les vampires, qui reste avec Friends, la meilleure série de tous les temps à mes yeux. Mais il y a aussi eu Dawson, Alias, Le Caméléon... A cette époque, il fallait gérer la frustration et attendre parfois plus d'un an pour voir la suite de sa série préférée. Aujourd'hui, je mesure ma chance d'avoir les plateformes à ma disposition pour regarder autant de séries que je le désire. Désormais, je ne jure que par L'amour est dans le pré et Affaire conclue. Je ne désespère pas de braver ma timidité pour aller vendre un objet sur le plateau de Julia Vignali. En revanche, les chances que je tente ma chance dans le programme de Karine Le Marchand sont nulles. Indépendante pendant des années, je me suis longtemps partagée entre ma passion dévorante pour la télévision et mon intérêt pour l'économie de ma région d'adoption. Aujourd'hui, je me consacre à 100% à la télévision pour mon plus grand plaisir !
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