L’enquête a été ouverte pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « tentative d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste ». Les deux hommes qui ont fait 15 morts lors d’une fête juive sur une plage de Sydney dimanche étaient un père et son fils.

Live animé par Solène L'Hénoret et Allison Ferrera (service photo)

Rassemblement en hommage aux victimes de la fusillade survenue dimanche, près de la plage de Bondi, à Sydney, le 15 décembre 2025. - BIANCA DE MARCHI/VIA REUTERS Rassemblement en hommage aux victimes de la fusillade survenue dimanche, près de la plage de Bondi, à Sydney, le 15 décembre 2025. BIANCA DE MARCHI/VIA REUTERS

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Ce qu’il faut retenir de l’attentat sur la plage de Bondi à Sydney

  • Un père et son fils ont ouvert le feu à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes dimanche soir, sur une foule qui célébrait la fête juive de Hanoukka sur la plage mythique de Bondi, à Sydney en Australie. Ils ont fait au moins 15 morts, âgés de 10 ans à 87 ans, et plus de 40 blessés. Une fillette de 10 ans est morte à l’hôpital.
  • Les assaillants sont Sajid et Naveed Akram. Le premier, 50 ans, a été abattu par des policiers, le second, 24 ans, blessé et hospitalisé, avait fait l’objet d’une enquête des services de renseignements.
  • Parmi les victimes, ont été identifiés Dan Elkayam, un ingénieur en informatique français de 27 ans, Eli Schlanger, rabbin de 41 ans né à Londres, et Alex Kleytman, un survivant de la Shoah né en Ukraine. Quarante-deux personnes ont été hospitalisées pendant la nuit, dont cinq dans un état critique. Parmi elles, se trouvent deux policiers blessés lors d’un échange de coups de feu avec les tireurs.
  • Le parquet national antiterroriste (PNAT) a ouvert une enquête en France, dont le principal objectif « est de permettre aux victimes et à leurs proches qui résideraient en France d’avoir accès aux informations relatives à l’avancement des investigations ».
  • Une vidéo montre un homme qui avance avec audace vers l’un des tireurs qui lui tourne le dos, l’agrippe par le cou, le maîtrise et lui arrache son fusil. Cet homme, Ahmed Al-Ahmed, 43 ans, a été salué en « héros » par les dirigeants australiens et étrangers, du premier ministre australien, Anthony Albanese, au président américain, Donald Trump.
  • Le premier ministre australien, Anthony Albanese, a convenu du renforcement de la « législation sur les armes à feu », lundi lors d’une réunion des chefs des Etats et territoires du pays. Il a déclaré qu’il s’agissait d’une « attaque ciblée contre les juifs australiens », d’un « acte d’antisémitisme maléfique ».
  • M. Albanese a aussi déclaré qu’il n’acceptait aucun lien entre la reconnaissance par l’Australie d’un Etat palestinien et l’attentat. Son homologue israélien, Benyamin Nétanyahou, a accusé Anthony Albanese d’avoir « jeté de l’huile sur le feu de l’antisémitisme » en reconnaissant l’existence d’un Etat palestinien.
  • Laurent Nuñez, le ministre de l’intérieur français, a demandé dimanche aux préfets de « renforcer la présence » des forces de l’ordre autour des lieux de culte juifs.

Ayyam Sureau, après l’attentat de Sydney : « L’antisémitisme connaît une résurgence inquiétante. Nous n’avons plus le droit d’hésiter »

Par Ayyam Sureau

La France porte encore les cicatrices d’épisodes sombres de son histoire. A la différence d’autres pays où se multiplient, comme chez nous, les actes de barbarie, nous savons ce que coûtent le silence, la lâcheté, la collaboration ou l’aveuglement des institutions et des élites face à l’idéologie antisémite. Le passé continue de hanter notre conscience collective, précisément parce que nous avons trop souvent tardé à dire non. Aujourd’hui, alors que l’antisémitisme connaît une résurgence inquiétante, cette complaisance ne peut plus être tolérée. Nous n’avons plus l’excuse de l’ignorance, ni le droit d’hésiter.

Le pape Léon XIV appelle à mettre un terme à la « violence antisémite » et à la « haine »

« Je confie au Seigneur les victimes de l’attentat terroriste perpétré hier [dimanche] contre la communauté juive de Sydney. Assez de ces formes de violence antisémite ! Nous devons extirper la haine de nos cœurs », a lancé, lundi, le pape Léon XIV dans un discours au Vatican.

Les familles des policiers blessés adressent leurs pensées aux proches des personnes tuées lors de la fusillade sur la plage de Bondi

Les familles de deux policiers blessés lors de la fusillade ont adressé, lundi, leurs pensées aux proches des personnes tuées et blessées « lors de la tragédie de la fusillade de Bondi » à Sydney par l’intermédiaire du compte Facebook de la police de l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud.

Les familles ont également exprimé « leur profonde gratitude à tous les premiers intervenants qui ont agi avec courage, en particulier aux policiers et aux ambulanciers qui sont intervenus » et ont souhaité remercier l’équipe hospitalière.

Le témoignage des parents d’Ahmed Al Ahmed, l’homme qui a désarmé un des tireurs de la fusillade en Australie

Sur Le Monde aujourd’hui

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Sur le réseau social X, le chatbot Grok répand de fausses informations sur l’attentat

Grok, l’intelligence artificielle (IA) utilisable directement sur le réseau social X, a multiplié les fausses informations en lien avec l’attentat terroriste sur la plage de Bondi à Sydney, selon un inventaire dressé par le site spécialisé Gizmodo.

Très souvent sollicité par les utilisateurs de X pour obtenir des informations ou vérifier des faits lors d’événements d’actualité, le chatbot a ainsi répondu de façon erronée à plusieurs internautes lui demandant d’analyser des vidéos de l’attentat. Un extrait présentant une fusillade entre les auteurs présumés de l’attaque et la police est ainsi initialement décrit comme la vidéo d’un cyclone en Australie, alors qu’une autre scène, montrant un passant désarmer un des tireurs, serait en réalité une « vieille vidéo virale d’un homme escaladant un palmier ».

L’IA adossée à X avait déjà été épinglée pour avoir propagé de fausses informations sur les attentats du 13-Novembre ou pour avoir repris des théories négationnistes sur la Shoah. Le chatbot se nourrit en temps réel de ce que les internautes publient sur X, un réseau social dont les règles de modération ont été largement assouplies depuis son rachat par le milliardaire d’extrême droite Elon Musk.

Florian Reynaud

Le Quai d’Orsay en contact avec la famille de Dan Elkayam et d’un jeune franco-néerlandais blessé au cours de l’attaque

Le ministre des affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, a fait part, lundi à Bruxelles, de sa « profonde tristesse » après la mort « de notre compatriote » Dan Elkayam dans l’attentat sur la plage de Bondi à Sydney. « Nos équipes de l’ambassade et du consulat général sont pleinement mobilisées et en contact avec [s]a famille pour faciliter, via Israël, son rapatriement », a-t-il expliqué sur BFM-TV.

M. Barrot a précisé que ses équipes étaient en contact avec un « jeune franco-néerlandais blessé au cours de cette attaque ». Ce dernier a « subi des soins et devrait, grâce au soutien des équipes de l’ambassade si nécessaire, pouvoir tourner cette page ».

L’ambassadeur de France en Australie et le consul général iront sur la plage de Bondi « pour se recueillir et exprimer au nom de la France nos condoléances et notre solidarité au peuple australien », a-t-il ajouté.

Le premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud rencontre l’homme qui a désarmé un des tireurs de la fusillade en Australie

« Ahmed est un véritable héros », a déclaré, lundi sur Facebook, Chris Minns, le premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud, à propos de l’homme qui a maîtrisé et désarmé l’un des tireurs, après lui avoir rendu visite à l’hôpital. « Hier soir, son incroyable bravoure a sans aucun doute sauvé d’innombrables vies lorsqu’il a désarmé un terroriste au péril de sa vie. Ce fut un honneur de passer du temps avec lui et de lui transmettre les remerciements des habitants de toute la Nouvelle-Galles du Sud. Il ne fait aucun doute que davantage de vies auraient été perdues sans le courage désintéressé d’Ahmed. »

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Le PNAT ouvre une enquête après la mort du ressortissant français Dan Elkayam

Le Parquet national antiterroriste (PNAT) français a annoncé, lundi, l’ouverture d’une enquête pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « tentative d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste », après la mort de l’ingénieur informatique français de 27 ans, Dan Elkayam, dimanche sur la plage de Bondi à Sydney.

« Les investigations ont été confiées à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et à la sous-direction antiterroriste de la Direction nationale de la police judiciaire », précise le communiqué. « Le principal objectif poursuivi par cette enquête est de permettre aux victimes et à leurs proches qui résideraient en France d’avoir accès aux informations relatives à l’avancement des investigations conduites par les autorités judiciaires françaises et australiennes et, d’autre part, de fournir un support, un appui, ou une expertise technique aux autorités judiciaires australiennes. »

L’enquête doit aussi faciliter l’accès des victimes et de leurs proches aux dispositifs d’aide.

Le premier ministre nie tout lien entre la reconnaissance par l’Australie d’un Etat palestinien et l’attentat sur la plage de Bondi

Le premier ministre australien, Anthony Albanese, a déclaré, lundi dans l’émission « 7.30 » de la chaîne ABC, qu’il n’acceptait aucun lien entre la reconnaissance par l’Australie d’un Etat palestinien et l’attentat sur la plage de Bondi à Sydney. Cette déclaration survient après que le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a accusé M. Albanese d’avoir « jeté de l’huile sur le feu de l’antisémitisme » en reconnaissant l’existence d’un Etat palestinien.

« Il ne faut pas apprendre à vivre avec l’antisémitisme », déclare Aurore Bergé

« Il ne faut pas apprendre à vivre avec l’antisémitisme, on ne peut pas dire à nos enfants de se méfier et d’avoir peur systématiquement, de se cacher, et de cacher une part de leur identité », a réagi, lundi sur Franceinfo, la ministre déléguée chargée de la lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, au lendemain de l’attaque contre des personnes célébrant une fête juive à Sydney.

« Le terrorisme est international (…) il cible principalement les démocraties occidentales », a poursuivi Aurore Bergé. « On sait qu’en plus en France, justement, les valeurs que nous portons, le fait qu’on a la plus grande communauté juive d’Europe, malheureusement, ne nous protège pas par principe. Au contraire, on sait qu’on est ciblé. »

« Il faut admettre que depuis le 7-Octobre, il y a une recrudescence massive de l’antisémitisme, singulièrement dans les démocraties occidentales, et qu’il n’y a pas de sanctuaire », a-t-elle souligné. « Je considère que toutes celles et ceux qui depuis le 7-Octobre ont participé à nourrir cet antisémitisme, déversé cette espèce de haine obsessionnelle d’Israël, sont en partie responsables de ce qui se passe. »

Le Conseil national s’engage à éradiquer « l’antisémitisme, la haine, la violence et le terrorisme »

Le Conseil national s’est engagé, lundi, à éradiquer « l’antisémitisme, la haine, la violence et le terrorisme » et a souligné l’engagement de l’Australie « en faveur d’une coordination nationale dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent, la cohésion sociale, les ressources et la rhétorique nécessaires pour garantir la sécurité de la communauté ».

Les dirigeants ont convenu qu’« une action forte, décisive et ciblée était nécessaire en matière de réforme de la législation sur les armes à feu », notamment à la renégociation de l’accord national sur les armes à feu, établi initialement après la tragédie de Port-Arthur en 1996, afin de garantir qu’il reste aussi solide que possible dans le contexte sécuritaire actuel en constante évolution.

Dans un communiqué, les premiers ministres se sont engagés à renforcer la législation sur les armes à feu dans tout le pays et ont chargé leurs ministres de la police et leurs procureurs généraux d’élaborer des options, notamment : accélérer la mise en place du registre national des armes à feu ; autoriser un recours accru aux renseignements criminels pour étayer les permis d’armes à feu, qui peuvent être utilisés dans le cadre de régimes de délivrance de permis administratifs ; limiter le nombre d’armes à feu qu’une personne peut détenir ; limiter les permis d’armes à feu à durée indéterminée et les types d’armes autorisés, y compris les modifications ; et la citoyenneté australienne est une condition d’obtention d’un permis d’armes à feu.

Le gouvernement australien entamera en priorité des travaux sur d’éventuelles restrictions douanières supplémentaires concernant les importations d’armes à feu et d’autres types d’armes, y compris l’impression 3D, les nouvelles technologies et les équipements d’armes à feu pouvant contenir de grandes quantités de munitions.

Ahmed Al Ahmed, le passant qui a désarmé un des tireurs de la fusillade en Australie

Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux montre un homme qui avance avec audace vers l’un des tireurs qui lui tourne le dos ; il l’agrippe par le cou, le maîtrise et lui arrache son fusil. Cet homme s’appelle Ahmed Al Ahmed, il a 43 ans et est vendeur de fruits près de Sydney, selon le média 7News. Il a été salué en « héros » par les dirigeants australiens et étrangers, du premier ministre australien, Anthony Albanese, au président américain, Donald Trump.

Sur la plage de Bondi, des sauveteurs en mer qui n’étaient pas en service ont également surgi pour tenter de sauver des enfants. D’autres sauveteurs ont prodigué les premiers soins à des blessés, a témoigné Steven Pearce, du club Surf Life Saving New South Wales. Une femme enceinte s’était réfugiée dans le club de surf ; alors qu’elle avait ses premières contractions, elle a été emmenée à l’hôpital pour accoucher, selon lui.

Plusieurs victimes identifiées parmi les 15 personnes mortes dans l’attentat

Selon la police, les deux assaillants ont tué 15 personnes, âgées de 10 à 87 ans. La fillette de 10 ans est morte à l’hôpital. Un ingénieur informatique français de 27 ans, Dan Elkayam, compte également parmi les morts, selon le ministre des affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot.

Les organisations juives locales ont par ailleurs identifié parmi les victimes un rabbin né à Londres, Eli Schlanger, 41 ans, et déplorent donc la perte d’un représentant de la communauté qui avait contribué à l’organisation du rassemblement.

L’organisation juive hassidique Chabad a également déclaré qu’Alex Kleytman, survivant de la Shoah, avait également été tué. « Originaire d’Ukraine et survivant de la Shoah, il accompagnait sa femme Larisa. Il est mort en la protégeant des balles du tireur », a déclaré l’organisation dans un communiqué.

Quarante-deux personnes ont été hospitalisées pendant la nuit, dont cinq dans un état critique. Parmi elles, se trouvent deux policiers blessés lors d’un échange de coups de feu avec les tireurs.

En Australie, la pire attaque terroriste de l’histoire du pays vise la communauté juive et fait 15 morts

Par Isabelle Dellerba

Quelques rayons de soleil tentent de se frayer un chemin à travers les nuages, dans la matinée du 15 décembre, lorsque Murray Gillett, un Australien d’une soixantaine d’années, dépose un bouquet de marguerites jaunes sur le front de mer de la plage de Bondi, à Sydney. La veille, à seulement quelques pas de là, deux assaillants avaient ouvert le feu sur les participants d’un festival annuel célébrant la fête juive de Hanoukka, faisant 15 morts (auxquels s’ajoute l’un des suspects, tué par la police) et 42 blessés. La pire attaque terroriste de l’histoire de l’île-continent.

Les noms des deux suspects révélés par les médias

Les médias australiens ont identifié les deux tireurs comme étant Sajid Akram, 50 ans, abattu par des policiers, et son fils Naveed Akram, 24 ans, hospitalisé et placé sous surveillance policière.

Selon la chaîne publique ABC, des enquêteurs antiterroristes estiment que les deux tireurs avaient prêté allégeance à l’organisation djihadiste Etat islamique (EI). Des hauts responsables ont déclaré à ABC que deux drapeaux de l’EI avaient été trouvés dans la voiture des auteurs de l’attaque sur la plage.

La police de Nouvelle-Galles du Sud a dit ne pas pouvoir confirmer les informations d’ABC.

Le premier ministre australien se déclare favorable à une législation plus stricte sur les armes

« Le gouvernement est préparé à prendre toutes les mesures nécessaires. Cela inclut notamment le besoin de lois plus fermes sur les armes à feu », a déclaré le premier ministre australien, Anthony Albanese, alors que la police a confirmé que l’un des assaillants possédait légalement six armes à feu.

« Les gens peuvent se radicaliser au fil du temps. Les permis ne devraient pas être permanents », a-t-il ajouté, déclarant qu’il proposerait de nouvelles restrictions, notamment la limitation du nombre d’armes à feu qu’un détenteur de permis peut acquérir.

L’un des suspects visé par un enquête du renseignement australien en 2019

Le premier ministre australien, Anthony Albanese, et le ministre de l’intérieur, Tony Burke, viennent de donner quelques informations supplémentaires aux journalistes. Les deux hommes ont reconnu que le plus jeune des agresseurs, le fils âgé de 24 ans, de nationalité australienne, avait fait l’objet d’une enquête des services de renseignements.

Son cas a été porté à l’attention des autorités en octobre 2019, en raison de sa proximité avec d’autres personnes radicalisées, mais pas en raison d’un risque d’action violente. « L’évaluation a été réalisée en raison des fréquentations du fils à l’époque et l’enquête a duré six mois », a déclaré M. Albanese. A l’issue de l’enquête, il avait été estimé qu’il ne représentait pas une menace.

Le père, lui, est arrivé dans le pays en 1998 avec un visa d’étudiant, avant d’obtenir un visa de conjoint en 2001, puis plusieurs renouvellement de visas, avant d’être naturalisé.

A Bondi Beach, l’émotion au lendemain de l’attaque meurtrière

Des effets personnels abandonnés par les personnes fuyant la fusillade, à Bondi Beach, à Sydney, le 15 décembre 2025. Des effets personnels abandonnés par les personnes fuyant la fusillade, à Bondi Beach, à Sydney, le 15 décembre 2025.
Des femmes accrochent le drapeau israélien à côté du drapeau australien au pavillon de Bondi, à Sydney, le 15 décembre 2025. Des femmes accrochent le drapeau israélien à côté du drapeau australien au pavillon de Bondi, à Sydney, le 15 décembre 2025.
Un mémorial improvisé, à Sydney, le 15 décembre 2025. Un mémorial improvisé, à Sydney, le 15 décembre 2025.
Le codirecteur général du Conseil exécutif de la communauté juive d’Australie, Alex Ryvchin (à gauche), et le président de l’organisation de la communauté juive de Nouvelle-Galles du Sud, David Ossip, à Bondi Beach, à Sydney, le 15 décembre 2025. Le codirecteur général du Conseil exécutif de la communauté juive d’Australie, Alex Ryvchin (à gauche), et le président de l’organisation de la communauté juive de Nouvelle-Galles du Sud, David Ossip, à Bondi Beach, à Sydney, le 15 décembre 2025.
Près du lieu de la fusillade, à Sydney, le 15 décembre 2025. Près du lieu de la fusillade, à Sydney, le 15 décembre 2025.
Sur les lieux de la fusillade, à Sydney, le 15 décembre 2025. Sur les lieux de la fusillade, à Sydney, le 15 décembre 2025.

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