Dans la foulée de cinq heures de pourparlers, dimanche, M. Zelensky poursuit lundi à Berlin les discussions avec Steve Witkoff et Jared Kushner. Une rencontre au sommet réunira aussi lundi soir le président ukrainien et plusieurs responsables européens.
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Plus de 430 000 personnes toujours privées d’électricité dans l’oblast d’Odessa, selon le ministère de l’énergie ukrainien
Dans l’oblast d’Odessa, dont le système énergétique a été visé samedi par une attaque massive avec plus de 450 drones et 30 missiles, la situation énergétique reste « complexe, mais contrôlée », a fait savoir lundi le ministère de l’énergie ukrainien.
Si les services publics d’électricité ont réussi à rétablir l’approvisionnement en électricité pour plus de 184 000 consommateurs et des infrastructures critiques de l’oblast, « plus de 430 000 abonnés restent sans électricité », précise-t-il. Le ministère rapporte aussi des coupures de courant partielles dans les oblasts de Donetsk and Dnipropetrovsk.
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Quelque 75 % des Français estiment que l’invasion de l’Ukraine est une menace pour l’UE ; une majorité appelle à une défense européenne renforcée
Malgré les négociations en cours sur un plan de paix en Ukraine, 26 % des citoyens européens, et 22 % des Français, considèrent que l’invasion de l’Ukraine par la Russie reste le défi le plus important pour l’Union européenne (UE), selon le dernier sondage Eurobaromètre, réalisé chaque semestre par la Commission européenne. En France, on observe toutefois un recul notable de cette préoccupation par rapport au printemps dernier (− 6 points). Viennent ensuite l’inflation, défi prioritaire perçu par 21 % des Français, et la situation économique (19 %), tous deux en légère hausse.
Par ailleurs, 75 % des Français estiment que l’invasion de l’Ukraine est une menace pour la sécurité de l’UE, tandis que 71 % pensent qu’elle présente aussi une menace pour la France.
Et, en majorité, les Français ne sont pas satisfaits de la réponse apportée à l’invasion russe par l’UE (48 %), ni par le gouvernement national (55 %) ; une tendance nettement en hausse (respectivement + 6 points et + 11 points par rapport au printemps 2025).
Parmi les personnes interrogées en France par la Commission, 71 % appellent à l’imposition de sanctions économiques au gouvernement russe, ainsi qu’à des entreprises et personnalités russes. Une opinion partagée par 73 % des citoyens des Vingt-Sept.
En réponse, les Français interrogés en appellent à une défense européenne renforcée. Ils sont plutôt favorables (à 74 %) à une politique de sécurité et de défense commune des Etats membres, ainsi qu’à une politique étrangère commune (à 61 %). Quelque 81 % souhaitent également un renforcement de la coopération dans le domaine de la défense au niveau européen.
Une majorité de Français estime aussi que le budget de la défense devrait être augmenté au niveau de l’UE (60 %), une opinion un peu moins largement partagée qu’au printemps (− 7 points).
Début de la rencontre entre Volodymyr Zelensky et les négociateurs américains à Berlin
Cette rencontre, dont le début a été annoncé par un haut responsable ukrainien à l’Agence France-Presse, a lieu au deuxième jour de négociations visant à mettre fin à la guerre avec la Russie. Dimanche, déjà, M. Zelensky et les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner ont négocié pendant plus de cinq heures à Berlin pour trouver une issue à ce conflit déclenché en 2022 par l’invasion russe de l’Ukraine.
Dimanche soir, après le premier cycle de pourparlers, l’émissaire américain Steve Witkoff, avait assuré sur son compte X que « beaucoup de progrès » avaient été faits. Mais le chef de la diplomatie allemande, Johann Wadephul, a estimé qu’il fallait attendre « la fin de la semaine » pour connaître le résultat des échanges. Il a pointé une fois encore la responsabilité du président russe, Vladimir Poutine, pour arrêter la guerre qu’il a déclenchée en février 2022.
L’Ukraine décrit les nouveaux drones Gueran-2 russes, de type Shahed, équipés de missiles aériens R-60
Le renseignement militaire ukrainien a décrit, lundi, un nouveau drone russe en production : un drone de type Shahed, de ceux rebaptisés Gueran-2 (« géranium ») par la Russie, équipé d’un missile aérien R-60. L’objectif de cet ajout est d’« abattre les hélicoptères et les avions ukrainiens qui chassent les drones russes », précise le ministère de la défense sur Telegram.
Le missile est monté sur un support situé sur la partie supérieure du drone, et équipé de deux caméras. Les images de ces caméras seront transmises à l’opérateur, qui, « en cas d’apparition d’un avion ou d’un hélicoptère ukrainien dans la zone de frappe, pourra commander le lancement du missile », précise le ministère.
L’objectif principal de ce nouveau développement russe « est de créer une menace pour l’armée et l’aviation tactique ukrainiennes, réduisant leur efficacité dans l’interception de drones ennemis », ajoute le ministère de la défense.
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La non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN est une « pierre angulaire » des pourparlers, affirme le Kremlin
La question de l’adhésion de l’Ukraine à l’Alliance atlantique doit faire l’objet de « discussions spécifiques », a assuré lundi Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, lors de son point de presse quotidien. Pour la Russie, la non-adhésion de l’Ukraine est une « pierre angulaire » des pourparlers, sous médiation américaine, a-t-il précisé.
La Russie attend d’être informée par Washington des résultats des pourparlers à Berlin entre Américains, Européens et Ukrainiens sur un plan de règlement du conflit en Ukraine, a ajouté M. Peskov.
Les Vingt-Sept doivent se prononcer sur le sort des 210 milliards d’euros d’actifs appartenant à Moscou. Marginalisée dans les pourparlers de paix, l’Union européenne doit saisir cette occasion pour peser dans la résolution du conflit, estime dans sa chronique Stéphane Lauer, éditorialiste au Monde.
Guerre en Ukraine : « L’UE a trop peu de cartes en main pour hésiter à abattre celle des avoirs russes gelés »
Par Stéphane Lauer
« Ils parlent, mais ils n’agissent pas, et la guerre ne cesse de s’éterniser. » Donald Trump a, une nouvelle fois, vertement critiqué l’attitude des Européens face au conflit russo-ukrainien dans un entretien au site américain Politico, le 9 décembre. Si sévère soit-il, le jugement comporte une part de vérité. Malgré son soutien indéfectible à Kiev, l’Union européenne (UE) peine souvent à passer de la parole aux actes. Dans quelques jours, elle aura l’occasion de prouver le contraire en tranchant la délicate question des avoirs russes gelés sur son sol en raison des sanctions internationales. Lors d’un sommet capital à Bruxelles, les 18 et 19 décembre, l’UE doit se prononcer sur le sort des 210 milliards d’euros d’actifs qu’elle veut utiliser comme levier pour amplifier l’aide à l’Ukraine.
Bonjour,
Quelque 300 milliards d’euros d’actifs de la banque centrale de Russie auraient été saisis dans les pays du G7, en plus des saisies d’actifs privés de personnes liées au pouvoir russe. Dans l’Union européenne (UE), quelque 200 milliards d’euros de la banque centrale ont été gelés, dont la majeure partie est gérée par la société internationale de dépôts de fonds Euroclear, basée à Bruxelles.
Les pays de l’UE utilisent déjà les intérêts produits par ces montants – de 2,5 à 3 milliards d’euros par an – pour aider l’Ukraine. La question d’une possible saisie totale des avoirs russes divise toutefois les Vingt-Sept.
La prise du Donbass en Ukraine « n’est pas la finalité » pour Vladimir Poutine, prévient Kaja Kallas
La question d’un retrait des troupes ukrainiennes du Donbass, réclamé par Moscou, est au cœur des tractations sur le plan de paix américain en Ukraine. Mais pour la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, la prise de contrôle de cette région « n’est pas la finalité » du président russe, Vladimir Poutine.
« Nous devons comprendre que s’il s’empare du Donbass, la forteresse sera abattue et [les forces russes] passeront alors définitivement à la prise de l’ensemble de l’Ukraine », a-t-elle déclaré lundi aux journalistes lors de son arrivée à Bruxelles pour une réunion des ministres des affaires étrangères de l’Union européenne.
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Après les sanctions de Washington, l’étau se resserre pour le pétrole russe
Par Marie de Vergès
Des dizaines de millions de barils de pétrole bloqués en mer. L’image résume l’une des conséquences les plus immédiates des sanctions prises par Washington contre le secteur pétrolier russe pour tenter de mettre un terme à la guerre en Ukraine, commencée en février 2022. Trois semaines après l’entrée en vigueur, le 21 novembre, des mesures punitives ciblant les entreprises Rosneft et Lukoil, opérateurs et acheteurs étrangers en affaire avec ces deux géants russes tentent encore de jauger les risques encourus. Et d’imaginer de nouvelles solutions de contournement.
L’Ukraine affirme avoir abattu 133 drones russes pendant la nuit
Les forces russes ont attaqué l’Ukraine dans la nuit de dimanche à lundi avec 153 drones d’attaque de type Shahed et Guerbera lancés des oblasts de Koursk, d’Oriol, de Primorsko-Akhtarsk, de Millerovo, de Chatalovo, de Chaouda et de Gvardeiskoe, a déclaré l’armée de l’air ukrainienne, lundi.
Cette dernière affirme avoir abattu ou neutralisé 133 drones. « Dix-sept drones d’attaque sur dix sites », précise-t-elle.
La Russie affirme avoir abattu 130 drones ukrainiens dans la nuit
Les unités de défense antiaérienne russes ont abattu 130 drones au cours de la nuit de dimanche à lundi, dont 15 se dirigeaient vers Moscou, a déclaré lundi le ministère de la défense russe. Sergueï Sobianine, maire de Moscou, a dit que quatre autres drones qui volaient en direction de la capitale russe avaient été abattus lundi matin et que les services d’urgence avaient été déployés sur place.
Les aéroports moscovites Domodedovo et Joukovski ont dû suspendre leurs activités, ainsi que d’autres aéroports dans le sud de la Russie, a dit l’autorité russe de l’aviation civile.
Iouri Slioussar, gouverneur de la région de Rostov, a déclaré qu’une ligne à haute tension avait été endommagée en raison d’une attaque nocturne de drones.
La semaine qui s’ouvre à Bruxelles est « très importante » pour le financement de l’Ukraine, déclare la cheffe de la diplomatie de l’UE
« C’est une semaine très importante » pour l’Ukraine et le financement de sa guerre contre la Russie, sur lequel les dirigeants de l’Union européenne (UE) devront prendre une décision lors d’un sommet jeudi et vendredi, a déclaré la cheffe de la diplomatie de l’UE, Kaja Kallas, lundi, avant le début d’une réunion des ministres des affaires étrangères de l’UE à Bruxelles. Elle a souligné que la négociation entre les Vingt-Sept sur les avoirs russes gelés, option « la plus crédible » de financement selon elle, se poursuivait, mais était « de plus en plus difficile ».
Outre le recours aux avoirs russes gelés, la Commission européenne a proposé une autre option, un emprunt européen, mais plusieurs Etats, notamment l’Allemagne, s’y opposent. Cette option « ne décolle pas » vraiment, a assuré Mme Kallas, pour laquelle un recours aux avoirs russes gelés a aussi l’avantage de ne rien coûter aux contribuables européens, « ce qui est très important ».
Depuis Berlin, Volodymyr Zelensky et les Européens en quête d’un engagement américain pour dissuader la Russie d’attaquer l’Ukraine en cas de cessez-le-feu
Par Philippe Ricard, Claire Gatinois, Thomas d’Istria
Volodymyr Zelensky, comme ses alliés européens, en font un préalable à toute négociation territoriale. Les garanties de sécurité qui doivent dissuader la Russie de réitérer son agression sur l’Ukraine – une fois un cessez-le-feu arraché – sont à nouveau au cœur des discussions ouvertes à Berlin, dimanche 14 décembre, sous l’égide du chancelier allemand Friedrich Merz, entre le président ukrainien et les émissaires américains, Steve Witkoff et Jared KushnLes pourparlers, dont l’objectif est de remanier le plan Trump, calqué sur les exigences russes, avant de le négocier avec Moscou, devaient se poursuivre lundi, avant une rencontre, à la chancellerie, avec plusieurs dirigeants européens, dont le premier ministre britannique, Keir Starmer, et le président français, Emmanuel Macron.
Volodymyr Zelensky et les négociateurs américains lundi à Berlin
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et les négociateurs américains se retrouvent lundi à Berlin, dans la foulée de cinq heures de pourparlers dimanche, Kiev espérant convaincre Washington qu’un cessez-le-feu doit intervenir en Ukraine sans concessions territoriales préalables à la Russie.
Une rencontre au sommet doit aussi réunir lundi soir le chef de l’Etat ukrainien avec des responsables européens, dont le chancelier allemand, Friedrich Merz, le président français, Emmanuel Macron, et le premier ministre britannique, Keir Starmer, ainsi que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte.
Sead Turcalo, historien : « Pour Poutine, la Bosnie et le Kosovo, présentés comme des conflits gelés, sont des outils contre l’Occident »
Par Rémy Ourdan
Sead Turcalo, doyen de la faculté de science politique de l’université de Sarajevo, est professeur de géopolitique et de sécurité internationale. Expert de la Russie, il analyse à la fois la situation en ex-Yougoslavie trente ans après l’accord de paix de Dayton, qui mit fin à la guerre de Bosnie-Herzégovine (1992-1995), et l’influence des politiques russe et américaine, ainsi que celle de la guerre d’Ukraine, dans les Balkans.
Après les pourparlers américano-ukrainiens, l’émissaire américain Steve Witkoff salue « beaucoup de progrès »
« Beaucoup de progrès ont été faits », a salué dimanche l’émissaire américain Steve Witkoff à l’issue d’une journée de discussions à Berlin avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, en vue de trouver une issue diplomatique à la guerre menée par la Russie.
La réunion entre le président ukrainien, l’émissaire américain, et Jared Kushner, gendre de Donald Trump, a duré plus de cinq heures et a inclus « des discussions approfondies sur le plan en 20 points pour la paix, les programmes économiques, et davantage », a déclaré l’émissaire sur X, précisant qu’une nouvelle rencontre aurait lieu lundi matin.
Le point sur la situation, dimanche 14 décembre en fin de journée
- Friedrich Merz accueille Volodymyr Zelensky, Steve Witkoff et Jared Kushner à Berlin. Le chancelier allemand reçoit des délégations américaine et ukrainienne à Berlin en vue de négociations sur un plan de paix en Ukraine soutenu par les Etats-Unis.
- « Le plan de paix ne plaira pas à tout le monde. » Volodymyr Zelensky répond aux accusations de Donald Trump et affirme que le plan préparé par son pays « comporte de nombreux compromis, sous une forme ou une autre. Nous avons envoyé aux Etats-Unis les derniers commentaires et modifications concernant le plan ».
- Volodymyr Zelensky pourrait se rendre en Pologne à la fin de la semaine. Le président ukrainien a souligné l’importance des relations de voisinage entre Kiev et Varsovie.
- Des frappes russes ont visé, dimanche, la ville de Zaporijia, dans le sud de l’Ukraine, faisant 11 blessés, ont annoncé les autorités ukrainiennes.
- Le Kremlin qualifie le secrétaire général de l’OTAN d’irresponsable. Dans un discours prononcé jeudi à Berlin, Mark Rutte a affirmé que l’OTAN devait être « prête à l’ampleur d’une guerre que nos grands-parents ou arrière-grands-parents ont endurée », ajoutant que les pays de l’Alliance pourraient être « la prochaine cible » de la Russie.
- Giorgia Meloni exhorte l’Europe à se réveiller en matière de sécurité. La présidente du conseil italien a qualifié la nouvelle stratégie de sécurité nationale de Donald Trump de « signal d’alarme » pour l’Europe, tout en réaffirmant le soutien de l’Italie à l’Ukraine et en appelant les Européens à assumer davantage leur propre défense.
Après cinq heures d’échanges, les pourparlers entre Volodymyr Zelensky et les émissaires américains se poursuivront lundi, affirme Kiev
Les pourparlers à Berlin entre le président ukrainin, Volodymyr Zelensky, et les émissaires américains, Steve Witkoff et Jared Kushner, aux côtés du chancelier allemand, Friedrich Merz, se sont terminés dimanche après plus de cinq heures d’échanges, a fait savoir Kiev.
Les pourparlers reprendront lundi, Kiev espérant convaincre Washington qu’un cessez-le-feu doit être conclu en Ukraine sans concessions territoriales préalables à la Russie. Ils « ont convenu de continuer demain », a affirmé à la presse le conseiller du président ukrainien Dmytro Lytvyn, précisant que M. Zelensky s’exprimerait lundi sur le sujet.
Un photographe de l’Agence France-Presse a vu le dirigeant de l’Ukraine quitter la chancellerie allemande, lieu de la rencontre, peu avant 21 heures. Outre ce deuxième round de discussions ukraino-américaines, de nombreux dirigeants européens sont attendus lundi soir à Berlin pour accorder leurs positions et peser sur le plan américain pour mettre fin à la guerre mais jugé trop favorable à la Russie.
Bonsoir
Les Etats-Unis disposent de plusieurs mécanismes pour prévenir les conflits d’intérêts des responsables politiques. L’Office of Government Ethics impose des obligations de transparence aux hauts responsables fédéraux, tandis que les inspecteurs généraux, le Congrès et le département de la justice peuvent enquêter et poursuivre d’éventuelles infractions. Mais le président, toutefois, est exempté de certaines règles pénales sur les conflits d’intérêts, et sa famille n’est soumise qu’à un contrôle indirect.
Les démocrates ont listé une série de conflits d’intérêts lors des cent premiers jours du deuxième mandat de Donald Trump. Il y a aussi de lourds soupçons de conflits d’intérêts dans le domaine des cryptomonnaies. Enfin, il y a le cas Jared Kushner, affairiste et émissaire de Donald Trump, son beau-père.
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