Alors que de nouvelles « consultations » s’ouvrent vendredi aux Etats-Unis, ces derniers essayent de comprendre « ce que l’Ukraine peut accepter et ce que la Russie peut accepter », a fait valoir le chef de la diplomatie américaine.
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Sept morts après une frappe de missile russe dans l’oblast d’Odessa
Une frappe de missile balistique russe a fait sept morts et quinze blessés dans l’oblast d’Odessa, sur les rives de la mer Noire, dans le sud de l’Ukraine, a annoncé Oleh Kiper, chef de l’administration militaire de l’oblast, qui a précisé que l’attaque visait les infrastructures portuaires.
Le ministère de la défense russe autorisé à mettre fin à des accords militaires conclus avec l’Allemagne et d’autres pays occidentaux
Le gouvernement russe a autorisé le ministère de la défense à dénoncer de nombreux accords militaires passés avec l’Allemagne, la Pologne, la Norvège et huit autres pays occidentaux, selon un document publié sur un portail d’actes juridiques russe et cité par l’agence de presse russe TASS. Ces accords avaient été signés entre 1992 et 2002.
Parmi les traités internationaux cités dans le document, figurent un accord avec l’Allemagne signé à Moscou le 13 avril 1993, un accord avec la Pologne signé le 7 juillet 1993 sur la coopération bilatérale, ou encore un accord avec la Norvège sur la coopération dans le domaine militaire signé le 15 décembre 1995.
Les autres accords avaient été signés avec la Roumanie, la Bulgarie, le Danemark, les Pays-Bas, la Croatie, la Belgique, la République tchèque et le Royaume-Uni, rapporte Kommersant.
Le point sur la situation, vendredi 19 décembre dans la soirée
- Les alliés européens de l’Ukraine participent, vendredi, à une nouvelle réunion ukraino-américaine aux Etats-Unis, alors que Donald Trump fait pression dans les négociations sur un plan visant à mettre fin au conflit. Les discussions à Miami incluront le négociateur ukrainien Rustem Umerov et des représentants de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne.
- Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a déclaré, vendredi, que Washington ne pouvait pas imposer d’accord. « Nous ne pouvons pas forcer l’Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu’ils le veuillent », a-t-il dit.
- A son retour du Conseil européen, où les Vingt-Sept ont décidé d’un prêt européen à l’Ukraine de 90 milliards d’euros, Emmanuel Macron a salué une avancée pour l’Ukraine, mais aussi « un investissement pour notre propre sécurité ».
- Elections en Ukraine, négociations avec les Etats-Unis, avoirs russes, menaces en Europe, situation du Français Laurent Vinatier, emprisonné en Russie… Vladimir Poutine a abordé de nombreux sujets lors de sa conférence de presse annuelle à Moscou.
- Le service de sécurité d’Ukraine (SBU) a touché pour la première fois un pétrolier de la flotte fantôme russe « dans les eaux neutres » de la Méditerranée, selon une source proche de l’unité spéciale citée par plusieurs médias ukrainiens et l’Agence France-Presse (AFP).
Sur le site d’une frappe aérienne russe à Zaporijia
Un homme devant sa maison détruite, à Zaporijia, en Ukraine, le 19 décembre 2025.
Une policière collecte les fragments d’une bombe sur le site de l’attaque, à Zaporijia, en Ukraine, le 19 décembre 2025.
Une femme observe sa maison détruite, à Zaporijia, en Ukraine, le 19 décembre 2025. Plusieurs véhicules blindés russes détruits près de Pokrovsk, selon une unité des forces armées ukrainiennes
Le 7e corps de réaction rapide des forces ukrainiennes aéroportées a fait état sur Telegram d’une « opération spéciale » pour détruire des véhicules blindés de l’armée russe près de Pokrovsk, qui devaient servir, selon lui, à « lancer des opérations d’assaut » en direction de la ville.
Les équipements ont été détruits « afin de perturber le potentiel offensif de la Russie », fait valoir cette unité ukrainienne. Avec vidéo à l’appui, elle rapporte la destruction de sept tanks, sept véhicules blindés de combat, trois véhicules militaires dont un avec des munitions, ainsi qu’un système de missile antiaérien.
Sur Le Monde aujourd’hui
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Les Etats-Unis ne peuvent pas imposer un accord à l’Ukraine ou à la Russie, affirme Marco Rubio
Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, lors d’une conférence de presse de fin d’année à Washington, le 19 décembre 2025. Alors que de nouvelles « consultations » visant à mettre fin à la guerre avec la Russie s’ouvrent vendredi aux Etats-Unis, ces derniers essayent de comprendre « ce que l’Ukraine peut accepter et ce que la Russie peut accepter », a fait valoir le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, lors d’une conférence de presse à Washington, vendredi. Le but de Washington étant de « voir si [les Etats-Unis] peuvent d’une manière ou d’une autre rapprocher [les deux positions] pour parvenir à un accord ».
« Seul un règlement négocié nous donne la possibilité de mettre fin à cette guerre », a estimé M. Rubio, ajoutant : « Nous ne voyons aucune des parties belligérantes capituler dans un avenir proche. »
« En fin de compte, c’est à eux de conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer l’Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu’ils le veuillent », a insisté M. Rubio.
Bonjour,
Les discussions ont été difficiles. Mais les Vingt-Sept ont finalement décidé, à l’unanimité, d’emprunter ensemble, avec la garantie du budget de l’Union européenne (UE). Les « frugaux », Allemagne en tête, qui ne voulaient pas en entendre parler, s’y sont résolus. Quant à la Hongrie, la Slovaquie et la République tchèque, qui refusent de continuer à aider l’Ukraine, elles ont obtenu de ne pas participer au remboursement du prêt. In fine, seulement vingt-quatre Etats membres se sont engagés derrière Kiev.
« Les Slovaques, les Tchèques et les Hongrois ont fait front commun. C’est encourageant. Nous allons poursuivre notre coopération », s’est félicité le premier ministre hongrois, regrettant « la stratégie de guerre » des Européens.
Vous pouvez retrouver plus de détails sur les coulisses de ce prêt à taux zéro dans cet article :
Bonjour,
Si, l’une des questions auxquelles le président russe a répondu lors de sa conférence de presse annuelle portait bien sur la frappe du service de sécurité d’Ukraine qui a endommagé, selon une source proche de l’unité spéciale à l’Agence France-Presse, un pétrolier de la flotte fantôme russe en Méditerranée.
« Cette mesure vise, entre autres, un objectif pragmatique : augmenter les primes d’assurance. Mais cela n’aura jamais le résultat escompté, ne perturbera pas l’approvisionnement et ne fera que créer une menace supplémentaire », a-t-il assuré. « Une réponse de notre pays suivra. »
A la fin de novembre et au début de décembre, l’Ukraine a frappé à plusieurs reprises avec des drones ou missiles des navires pétroliers liés à la Russie dans les eaux de la mer Noire, les forçant à rester dans sa partie orientale pour y échapper.
Le prêt européen à l’Ukraine est « un investissement pour notre propre sécurité », assure Emmanuel Macron
Emmanuel Macron, lors d’un sommet des dirigeants de l’Union européenne, à Bruxelles, le 19 décembre 2025. A son retour du Conseil européen, où les Vingt-Sept ont décidé d’un prêt européen à l’Ukraine de 90 milliards d’euros, le président de la République a salué sur le réseau social X une avancée « pour l’Ukraine et [la] sécurité collective » européenne.
« Ces eurobonds sont une avancée majeure qui donne de la visibilité et de la cohérence à notre soutien. Cette solution va garantir que l’Ukraine dispose des moyens dont elle a besoin pour financer son effort de guerre », a-t-il fait valoir. « Ce prêt est aussi un investissement pour notre propre sécurité, car c’est toute l’Europe que l’Ukraine défend sur le front », a ajouté le chef de l’Etat.
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Retrouvez ici les temps forts de la conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine :
Volodymyr Zelensky salue le « signal envoyé aux Russes » par le prêt européen à l’Ukraine et y voit une « victoire importante »
« La décision des dirigeants de l’Union européenne d’accorder un prêt sans intérêts de 90 milliards d’euros à l’Ukraine est une victoire importante pour nous », a déclaré le président ukrainien sur Telegram. « Sans ces fonds, la situation était très difficile pour nous », a-t-il ajouté.
Les Vingt-Sept ont en effet décidé, jeudi, d’accorder à Kiev un emprunt en commun de 90 milliards d’euros, à taux zéro, mais sans recourir aux avoirs russes, faute d’accord sur la question.
« Il n’y a pas de résultats positifs dans la guerre, mais, pour aujourd’hui, c’est un signal positif important pour notre société et un signal fort pour l’ennemi », a encore fait valoir M. Zelensky. « C’est un signal envoyé aux Russes pour leur faire comprendre qu’il est inutile de continuer à se battre, car nous bénéficions d’un soutien financier et que, par conséquent, nous ne faiblirons pas sur le front. »
L’Ukraine confirme la tenue de nouveaux pourparlers américano-ukrainiens vendredi aux Etats-Unis, en présence des Européens
« Nous entamerons une nouvelle série de consultations avec la partie américaine. A l’invitation de cette dernière, nos partenaires européens participent également à ce format », a fait savoir Rustem Umerov, le principal négociateur de Kiev, sur X, ajoutant que l’équipe ukrainienne se trouve dans « un esprit constructif ».
Volodymyr Zelensky avait déjà évoqué ces nouvelles discussions jeudi, annonçant que la délégation ukrainienne était en route.
Ce qu’il faut retenir de la conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine
- « La balle est dans le camp » de l’Ukraine et de ses alliés européens, a estimé Vladimir Poutine, évoquant les négociations sur le règlement du conflit, auquel il a consacré une bonne part de sa grande conférence de presse annuelle.
- Le président russe s’est d’abord félicité des gains territoriaux obtenus par ses forces dans l’est de l’Ukraine, assurant qu’elles « avancent sur toute la ligne de contact » et que les Ukrainiens « reculent dans toutes les secteurs ».
- « Nous ne nous considérons pas responsables de la mort des gens, parce que nous n’avons pas commencé cette guerre », a-t-il à nouveau prétendu, l’imputant à Kiev et ses alliés.
- Prié de dire s’il y aurait de « nouvelles opérations militaires spéciales », le nom donné par la Russie à son intervention en Ukraine, M. Poutine a répondu : « Il n’y aura aucune opération si vous nous traitez avec respect et respectez nos intérêts. »
- Le chef de l’Etat, qui conteste la légitimité de Volodymyr Zelensky dont le mandat devait s’achever en 2024, s’est dit prêt à envisager une suspension des frappes en profondeur en Ukraine le jour du vote, si des élections y sont organisées.
- M. Poutine a par ailleurs mis en garde les Européens contre des « conséquences très lourdes » qu’aurait la saisie des avoirs russes gelés pour aider l’Ukraine, évoquant mesures de représailles et recours en justice.
- Affirmant « ne rien savoir » du chercheur français Laurent Vinatier, détenu en Russie depuis juin 2024, il a promis de « se renseigner » et de « faire tout [son] possible » pour « résoudre cette question de manière positive (…) si la loi russe le permet ».
Le président polonais taxe les Ukrainiens d’ingratitude, en présence de Volodymyr Zelensky
« Les Polonais ont le sentiment (…) que notre effort, l’aide multiforme apportée à l’Ukraine depuis le début de l’invasion à grande échelle n’ont pas été dûment appréciés ni compris », a déclaré Karol Nawrocki, au cours d’une conférence de presse avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky.
« C’est ce que j’ai exprimé lors d’une conversation ferme, honnête, mais très cordiale et empreinte de courtoisie avec le président Zelensky », a poursuivi le président polonais. « L’Ukraine a toujours été reconnaissante envers la Pologne et le restera », a rétorqué l’intéressé, assurant que l’Ukraine « défendait l’Europe » au prix de pertes très élevées.
« La Russie veut la discorde, veut détruire une alliance très solide − l’alliance de deux nations, [forgée] au fil de nombreuses générations. Nous ne la laisserons pas faire », a-t-il ajouté.
M. Nawrocki n’a pas dit clairement ce qu’il attendait de Kiev, mais cet historien de formation issu du camp nationaliste exige une meilleure coopération dans le dossier très sensible des massacres de quelque 100 000 Polonais en Volhynie, entre 1943 et 1945.
Selon M. Nawrocki, qui les qualifie de « génocide », Kiev ne veut pas reconnaître sa responsabilité dans ces massacres commis par les nationalistes ukrainiens. Varsovie lui reproche également de faire traîner les exhumations.
L’épave d’un drone découverte en Turquie
L’épave d’un drone a été retrouvée vendredi dans le nord-ouest de la Turquie, rapportent les médias locaux. Le ministère de la défense turc avait annoncé, lundi, qu’un drone « hors de contrôle » approchant de l’espace aérien national par la mer Noire, avait été abattu.
Selon l’agence de presse privée DHA, l’épave a été retrouvée près d’Izmit, à l’ouest d’Istanbul et à 30 kilomètres des côtes de la mer Noire, face à l’Ukraine et à la Crimée annexée par la Russie en 2014. D’après plusieurs experts, qui en diffusent des images sur X, il s’agit d’un drone militaire russe Orlan 10.
La conférence de presse annuelle du président russe est terminée
Vladimir Poutine a répondu aux questions des journalistes et de ses concitoyens pendant près de quatre heures et demie.
Vladimir Poutine envisage de suspendre les bombardements si des élections sont organisées en Ukraine
La Russie est prête à envisager une suspension de ses frappes en profondeur en Ukraine le jour du vote, si des élections y sont organisées, a déclaré Vladimir Poutine. Le gouvernement ukrainien doit devenir légitime, ce qui est impossible sans élections, a-t-il ajouté, selon l’agence de presse russe TASS.
Le chef de la diplomatie russe fustige la proposition européenne de force multinationale en Ukraine
Sergueï Lavrov a fustigé vendredi la proposition européenne de déployer une force multinationale en Ukraine pour garantir sa sécurité dans le cadre d’un règlement du conflit.
« Il ne s’agit pas tant de sécurité que d’une nouvelle tentative impudente (…), insolente, de mettre en œuvre un contrôle militaire du territoire ukrainien afin d’en faire un tremplin pour menacer la Russie », a déclaré le ministre des affaires étrangères russe, lors d’une visite au Caire.
Le président russe est ouvert au contact « avec des gens polis », dit son ministre des affaires étrangères, réagissant aux propos d’Emmanuel Macron
« Je ne commenterai même pas la déclaration d’[Emmanuel] Macron selon laquelle il est nécessaire de dialoguer avec la Russie », a déclaré le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, réagissant aux propos tenus quelques heures plus tôt par le président de la République.
« Lisez ce qu’il a dit ces derniers mois, à commencer par le fait que le seul méchant dans toute cette histoire, c’est (…) le président [Vladimir] Poutine. S’il est disposé à dialoguer, notre président a souligné à plusieurs reprises qu’il est toujours ouvert au contact, à condition que ce soit avec des gens polis qui font preuve d’un minimum de décence », a-t-il ajouté, selon l’agence de presse russe TASS.
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