« Il y a mort d’homme » : au tribunal, Max Guazzini s’en prend à ceux qu’il estime responsables du décès de Dominici

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L’ancien président du Stade Français comparaissait ce mardi devant le tribunal correctionnel de Lyon pour des propos tenus dans un documentaire diffusé par la chaîne L’Équipe consacré à l’ancien rugbyman.

Par Cyril Michaudcorrespondant à Lyon (Rhône) 

Le

17 décembre 2025 à 11h01

Lyon (Rhône), mardi 16 décembre. Loretta Denaro, la veuve de Christophe Dominici, est venue témoigner au tribunal en soutien à Max Guazzini, poursuivi en diffamation. Icon Sport/Stéphane Pillaud

Lyon (Rhône), mardi 16 décembre. Loretta Denaro, la veuve de Christophe Dominici, est venue témoigner au tribunal en soutien à Max Guazzini, poursuivi en diffamation. Icon Sport/Stéphane Pillaud

« Il a été victime d’escrocs. Des gens lui ont fait croire qu’il était en contact avec un riche investisseur. Ils lui ont soutiré de l’argent. Ces gens-là sont responsables de sa mort, que ça soit un accident ou un suicide. Ils l’ont déstabilisé. »

C’est pour ces propos tenus dans un documentaire consacré à l’ancien rugbyman international, Christophe Dominici, diffusé sur la chaîne L’Équipe en 2023 que Max Guazzini, ancien président emblématique du Stade Français, comparaissait ce mardi devant la 6e chambre correctionnelle du tribunal de Lyon. Il était poursuivi pour diffamation par un homme, absent à l’audience, Samir Ben Romdhane, businessman exilé aux Émirats arabes unis, dont le nom reste tristement associé au décès du rugbyman international, survenu en novembre 2020.

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