"J'avais des dettes" : Alexandre Kominek, le compagnon de Florence Foresti, revient sur ses débuts compliqués

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L'humoriste Alexandre Kominek, compagnon de Florence Foresti, était l'un des trois invités de Rendez-vous chez Cyril Lignac ce jeudi 11 décembre sur M6. Il s'est confié sur ses débuts et sur une période difficile.

Née d’une conversation informelle après le tournage d’Un dimanche à la campagne sur France 2, la nouvelle émission Rendez-vous chez Cyril Lignac a germé dans l’esprit du chef et de Frédéric Lopez, producteur du format. "Je n’ai jamais cuisiné pour un chef et je trouvais l'idée rigolote", a commenté l'ancien animateur-voyageur de Rendez-vous en terre inconnue. Le principe : trois invités réalisent un plat en présence du cuisinier dans une ambiance propice aux confidences. Mais l’émission est-elle réellement tournée chez Cyril Lignac comme le suggère le titre ? Non. Tourner à domicile s’est avéré impossible pour des raisons logistiques. L’équipe a donc investi une maison à Arcueil, en région parisienne, où un espace inspiré de l'univers du chef a été entièrement reconstitué. Décor, objets personnels (une veste dédicacée par Paul Bocuse ou des photos de son Aveyron natal) et ustensiles ont été choisis pour donner au lieu l’authenticité recherchée.

Depuis le lancement le jeudi 20 novembre, Cyril Lignac a reçu Anne-Sophie Lapix, Ahmed Sylla et le youtubeur Michou dans un premier épisode, Kelly Massol, Marie s'infiltre et Xavier Niel dans un deuxième puis Seth Gecko, Sophie Tapie et Tom Villa dans un troisième. Ce jeudi 11 décembre, le gourmand juré du Meilleur pâtissier recevait Catherine Jacob, Jimmy Mohamed et Alexandre Kominek. Ce dernier, Suisse d'origine, compagnon de Florence Foresti, a été interrogé sur une mauvaise passe dans sa vie. "Il paraît que tu avais 30 000 € de dettes quand tu as commencé", lui a lancé Cyril Lignac. "Plus même, je crois que j'avais 35 000 francs suisses, quasi 40 000 €, a précisé Alexandre Kominek. En fait, à un moment donné, je me suis dit 'J'arrête de travailler, je veux devenir comédien'. Et, tu sais, tu as les impôts de l'année d'avant qui te reviennent dans la gueule et puis, en Suisse, on a une mutuelle qui est très chère et qui est obligatoire, c'est entre 600 et 700 € par mois."

"Un poids énorme que je traînais depuis trop longtemps" : Alexandre Kominek se confie sur ses débuts difficiles dans Rendez-vous chez Cyril Lignac sur M6

Après avoir bossé ici et là, il est engagé pour une publicité qui lui rapporte suffisamment pour rembourser son prêt. "Je me rappelle encore d'être devant mon ordi à faire tous les virements, toutes les dettes que j'avais, a continué l'humoriste. Et je suis sorti dans la rue, je venais de payer peut-être 38 000 € et je n'ai jamais été aussi léger de ma vie, dans les deux sens du terme, léger mentalement parce que j'étais libéré d'un poids énorme que je traînais depuis trop longtemps, et je n'avais plus d'argent mais j'étais bien !" Le véritable déclic dans sa carrière est survenu quelque temps après lorsqu'à la suite d'une soirée excessive, Alexandre Kominek a décidé au dernier moment de se lâcher sur scène.

"Je suis arrivé sur scène, j'étais tellement bien, je me suis dit 'Je ne vais pas faire mon sketch, je vais raconter ce qu'il s'est passé hier'. Et les gens étaient morts de rire, le lendemain je reçois plein de messages, s'est-il enthousiasmé. Si les gens veulent des histoires un peu bizarres, j'en ai un million et là, c'est bon, j'ai mon truc, j'ai mon filon et je kiffe ce que je fais !"

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Thomas Laborde

C’est une chance, non, de me présenter ici. Une grande chance. Parce que tout au long de ma carrière, j’ai réussi, la plupart du temps, à répondre à un de mes grands besoins : certes voyager, beaucoup, mais surtout parler de télé, de séries, de films, en faire mon quotidien. Et, de ce fait, en voir encore plus. Toujours plus. Je n’ai pas attendu les replays et les plateformes pour me gaver de créations en tout genre, je me souviens des soirées et nuits devant Téva, Série Club et RTL9. Des matins devant TF1, France 3, des après-midi sur M6 : du Club Dorothée à C’est pas sorcier, des Minikeums à M6 Kid. Sans oublier Qui est qui ? à l’année et Intervilles comme Fort Boyard, chaque été. Plus tard, à peine, vinrent Nulle Part Ailleurs et Les enfants de la télé puis On a tout essayé. Et j’ai tout essayé, tout regardé. J’avais la chance aussi d’avoir Canal+ à la maison, j’ai suivi en linéaire chaque jeudi soir dès le début Desperate Housewives. Deux petits épisodes par semaine, l’enfer ! Un enfer que les plateformes s’amusent à nous faire vivre à nouveau ! Mobland sur myCANAL m’a fait vriller : un épisode par semaine… Et rebelotte avec la saison 4 de Morning Show puis la première de Ça : Bienvenue à Derry. Aujourd’hui, j’ai une évidente affection pour HBO Max, pour Netflix, celle qui a tout bousculé, où je trouve des plaisirs pas du tout coupable comme Outer Banks et cet immense kiff gothico-ado de Mercredi, je remercie Disney+ pour l’immersion poussé dans les univers Star Wars mais aussi pour la spectaculaire The Bear, Apple TV+ me stupéfait par la qualité visuelle des objets que l’on y trouve, Severance en tête, et coucou Ted Lasso, Prime casse les codes avec du flux, tout comme Netflix. Non sans délaisser le petit écran, l’originel, la télévision. J’y apprécie toujours autant les magazines de voyages, les talk-shows, les différents formats reportages. Je ne rate jamais non plus Top Chef, Drag Race, Les Rencontres du Papotin et petit plaisir pas du tout coupable non plus, Cauchemar en cuisine, ou quand la télé peut vraiment donner un coup de main. On a tout essayé, oui, et on a tout aimé, voilà, voilà.

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