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Publié le 15/12/2025 à 12:54
De retour à Vichy après l'élection de Miss France 2026, Alice De Lima Guimaraes, Miss Auvergne et 6ème dauphine d'Hinaupoko Devèze, s'est confiée sur un petit accident survenu lors du mois de préparation au concours.
Elles étaient 30 sur la scène du Zénith d'Amiens, le samedi 6 décembre 2025, à vouloir remporter la couronne et l'écharpe. Mais une seule d'entre elles a été sacrée Miss France 2026 : Hinaupoko Devèze, alias Miss Tahiti, qui succède à Angélique Angarni-Filopon et s'apprête à vivre une année pas comme les autres. Mais pour les 29 déçues, l'aventure ne s'arrête pas pour autant. Exception faite de Julie Zitouni (Miss Provence) et Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine), destituées de leur titre respectif après avoir tenu des propos injurieux, toutes les candidates sont retournées dans leur région et ont été accueillies comme de véritables célébrités.
C'est le cas d'Alice De Lima Guimaraes, Miss Auvergne, qui est retournée à Vichy, ville où elle avait décroché son titre de Miss régionale cinq mois auparavant. Depuis, la jeune femme de 19 ans n'a pas démérité, puisqu'elle retourne chez elle avec pas moins de deux écharpes : celle de la 6e dauphine de Miss France 2026, ainsi que celle du prix de culture générale, pour récompenser son impressionnante note de 18/20 au redouté test, lors du voyage de préparation en Martinique.
"J'ai une cicatrice sur le ventre" : Alice De Lima Guimaraes (Miss Auvergne) se confie sur cet événement survenu avant l'élection de Miss France 2026
Interrogée par nos confrères de La Montagne, Alice De Lima Guimaraes (Miss Auvergne) s'est livrée sur un petit accident survenu durant le mois de préparation à l'élection de Miss France 2026 qui lui a laissé une marque sur le corps. "J'ai une cicatrice sur le ventre parce qu'il faut savoir qu'un jour, j'étais en retard et ma robe était froissée. Donc j'ai pris mon défroisseur et j'ai défroissé ma robe sur moi et je me suis brûlé la peau. Ce n'est pas grave, je garderai une très belle cicatrice de Miss France", raconte l'Auvergnate. Car avant le grand soir, pas question pour les candidates de commettre le moindre faux pas : elles sont évaluées à chaque instant sur leur attitude au global en vue de leur sélection pour le top 12.
Des retards que Frédéric Gilbert, président de la Société Miss France, avait justement mentionnés à Télé-Loisirs juste avant l'élection. "Il y a eu des pannes de réveil lors du premier jour de répétitions… Deux candidates ne se sont pas réveillées, elles sont arrivées avec trois quarts d'heure de retard et se sont fait reprendre par Stéphane Jarny [le directeur artistique du prime, ndlr.]", nous avait-il expliqué.
Mais il s'agirait du seul impair commis durant le mois de préparation de Miss France 2026. "Pour le reste, le recadrage que nous avions fait en Martinique a porté ses fruits et il n'y a pas eu besoin d'en faire d'autres", a conclu celui qui est également producteur de la soirée diffusée sur TF1.
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Journaliste originaire d'Île-de-France, je suis passionné par la petite lucarne depuis mes plus jeunes années. Mon premier souvenir de télévision : Fort Boyard, à l'époque où Patrice Laffont l'animait, qui me fascinait et est probablement à l'origine de certaines de mes phobies... Mais qui m'a indéniablement donné le goût des grands divertissements ! Je ne suis qu'à l'école primaire quand je suis avec assiduité l'ascension de Jenifer dans la Star Academy, le sacre des L5 dans Popstars, la révélation d'Amel Bent, que j'aurais désespérément voulu voir remporter la deuxième saison de la Nouvelle Star. Autant d'émissions qui me donnaient matière à discuter avec mes amis à l'école, et de chorégraphies à tenter de reproduire dans la cour de récréation, dès le lendemain de leur diffusion ! La télévision a continué à me suivre au fur et à mesure que je grandis. En 2006, je tombe amoureux de Pékin Express, une émission que je connais sur le bout des doigts, parfois mieux que Stéphane Rotenberg ! Je m'émerveille devant La France a un incroyable talent et je passe mes étés à suivre religieusement les quotidiennes de Secret Story. Cette passion, j'ai eu la chance d'en faire mon métier en 2017 pour déceler tous les secrets des coulisses des tournages et faire découvrir aux lecteurs ce qu'ils ne peuvent pas voir, au-delà des caméras. Quand je ne suis pas en train de faire des pronostics farfelus sur le mercato, sur le futur duo de Télématin ou sur le prochain visage du 20 Heures, je m'adonne à mon plaisir coupable : les audiences des différents programmes. Je les collecte studieusement chaque matin en arrivant à mon bureau, dans un tableau sinueux et alambiqué que mes collègues envient ! Depuis que je suis arrivé à la rédaction de Télé-Loisirs, la télévision continue de m'enchanter. Les Traîtres, Drag Race France, Danse avec les stars, le Concours Eurovision de la chanson, l'élection de Miss France... Toutes ces émissions me font dire sans hésiter : quel beau métier j'exerce !
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