Dans une interview accordée à Télé-Loisirs, Johan Ledoux a révélé comment il s'était retrouvé à participer à Affaire conclue.
Affaire conclue donne rendez-vous aux fans de brocante ce vendredi 12 décembre lors d'un prime spécial de l'émission intitulé Le conte de Noël. Pour l'occasion, elle mettra en scène des modes d'enchères jamais vus dans le programme à ce jour à l'instar de la vente à la bougie ou de la vente sous pli cacheté. Les enchères pourraient bien s'envoler. Il faut dire que plusieurs acheteurs emblématiques s'affronteront dans cette édition spéciale à l'image de Damien Tison, Caroline Margeridon, Marie du Sordet ou Aurore Morisse, tandis que les objets seront estimés par Harold Hessel, Marie Renoir, Yves Cosquéric et Enora Alix. Parmi les personnalités qui seront présentes en salle des ventes, on compte également Johan Ledoux.
L'acheteur a confié à Télé-Loisirs la manière dont il menait de front sa carrière musicale et son métier de brocanteur. "Je gère tout ça dans une douce schizophrénie. Il y a des matins où je commence la journée en me demandant ce que je fais aujourd'hui", a-t-il déclaré. "Je pense arriver à gérer ça entre mes deux boutiques dans le Berry avec ma femme Emmanuelle et puis la carrière de mon groupe Blankass avec mon frère", a-t-il ajouté. Il a aussi révélé comment il s'était retrouvé à participer à Affaire Conclue. C'est grâce à Harold Hessel qu'il a rencontré de manière "un peu fortuite" dans les couloirs de l'Hôtel Drouot à Paris. "Je n'ai pas manqué de le féliciter pour son talent et surtout la qualité de son travail au sein de l'émission, parce que Harold contribue à l'authenticité et à la qualité de notre émission dans la partie expertise des objets. Il est pour moi et pour les téléspectateurs indissociable de ce programme depuis tant d'années", remarque-t-il. "C'est en découvrant un peu qui j'étais qu'il a parlé aux producteurs de l'émission de l'époque. Ca fait maintenant 5 ou 6 ans. Ils ont eu envie de me rencontrer et de me faire intégrer la bande des marchands de l'émission. J'ai été très flatté", complète-t-il.
Johan Ledoux a eu un coup de coeur pour Affaire conclue en découvrant l'émission à la télévision : "Ce n'était pas de la télé-réalité"
Johan Ledoux indique qu'il suivait l'émission avant même cette opportunité. "Je suis un chineur depuis que j'ai 18 ans. Quand Affaire conclue est apparu sur nos écrans en France. C'est évidemment un programme qui m'intéressait parce que je voyais que c'était très sérieux, ce n'était pas du show, ce n'était pas de la télé-réalité. C'était quelque chose qui abordait sérieusement la valeur des objets et surtout le potentiel des trésors que les gens peuvent posséder chez eux sans le savoir. J'étais passionné bien avant ma rencontre avec Harold par le programme, parce que c'est une émission intelligente. Le concept est extraordinaire", s'enthousiasme-t-il.
Le musicien ne connaît d'ailleurs aucune lassitude avec Affaire conclue, qui le passionne toujours autant. "J'arrive toujours au studio pour tourner nos émissions avec le même entrain, la même excitation, la même envie de découvrir des objets de tous les jours. Et c'est surtout une émission de rencontres entre les gens du plateau et puis tous nos vendeurs qui arrivent des quatre coins de la France", reconnaît-il.
Découvrez en images : Affaire conclue : découvrez les acheteurs phares de l'émission qui font grimper les enchères !
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Véritable enfant de la télé, j'écris depuis des années sur le petit écran et les séries. Journaliste et fan inconditionnelle de Friends et fille spirituelle de Dorothée, je ne loupe pas un épisode de Koh-Lanta, L'amour est dans le pré, Mask Singer, ou Affaire conclue... et je nourris une véritable passion pour la Star Academy. En 1987, j'ai assisté à l'arrivée de Dorothée sur TF1. Pendant les années suivantes, j'ai passé mes mercredis après-midis, mes goûters quotidiens et mes dimanches matins devant les émissions de la reine du divertissement pour enfants. Dix ans plus tard, j'ai manqué ses adieux, trop occupée par ma vie estudiantine. Les années 2000 ont été un véritable Eldorado pour la téléphage que je suis, entre l’avènement du Loft, les débuts de la Star Academy et l'arrivée de Koh-Lanta. J'ai passé des soirées Nouvelle Star à attribuer des rouges et des bleus, mais aussi à commenter l'émission ici ou là lors de live-blogs, les prémices des réseaux sociaux. Et je ne parle même pas des séries ! Je peux écraser une larme en entendant le jingle de la Trilogie du samedi. J'ai adoré Buffy contre les vampires, qui reste avec Friends, la meilleure série de tous les temps à mes yeux. Mais il y a aussi eu Dawson, Alias, Le Caméléon... A cette époque, il fallait gérer la frustration et attendre parfois plus d'un an pour voir la suite de sa série préférée. Aujourd'hui, je mesure ma chance d'avoir les plateformes à ma disposition pour regarder autant de séries que je le désire. Désormais, je ne jure que par L'amour est dans le pré et Affaire conclue. Je ne désespère pas de braver ma timidité pour aller vendre un objet sur le plateau de Julia Vignali. En revanche, les chances que je tente ma chance dans le programme de Karine Le Marchand sont nulles. Indépendante pendant des années, je me suis longtemps partagée entre ma passion dévorante pour la télévision et mon intérêt pour l'économie de ma région d'adoption. Aujourd'hui, je me consacre à 100% à la télévision pour mon plus grand plaisir !
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