Après le succès de « La Panthère des neiges » en 2021, le photographe et réalisateur Vincent Munier signe « Le Chant des forêts », un film splendide tourné dans les Vosges et le Jura, sur la nature et sur la transmission.

Le long-métrage est le résultat d’« une vie d’affûts ». Une vie passée à se cacher dans la forêt pour observer les animaux sauvages, les photographier et les filmer. Quatre ans après avoir emmené l’écrivain Sylvain Tesson sur les traces d’un léopard au Tibet (« La Panthère des neiges », coréalisé avec Marie Amiguet, a réalisé 627 000 entrées), Vincent Munier nous entraîne dans le Jura et les Vosges.
Plus intime, « Le Chant des forêts », en salles ce mercredi, met en scène les échanges entre le photographe et cinéaste de 49 ans, son père Michel et son fils Simon autour de la nature. Michel, 78 ans, a transmis à son fils la passion de l’observation des bêtes. Simon, 14 ans aujourd’hui mais 12 au moment du tournage, expérimente ses premiers affûts dans les bois.




