Margot, gagnante du Meilleur pâtissier, se confie sur sa grossesse : "J’apprends que je suis enceinte quatre jours après la finale"

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C'est la fin de la saison 14 du Meilleur pâtissier. Margot l'a emporté. Depuis le tournage, son livre de recettes est écrit mais c'est encore un autre projet, autrement plus conséquent, qu'elle prépare : la parentalité. Elle s'est confié à Télé-Loisirs sur cette nouvelle vie.

La 14e saison du Meilleur Pâtissier s’est conclue jeudi 11 décembre 2025 sur M6. Après le départ d’Adrien, Margot, Sébastien et Victoria se disputaient le trophée au château d’Ormesson, lors d’une finale placée sous le thème du bal sucré. Un épisode marqué par les adieux de Mercotte, célébrée par les chefs invités et sa famille, après quatorze ans à la tête du concours. La troupe du Roi Soleil a accueilli les finalistes avant que Cyril Lignac ne lance l’épreuve du classique revisité autour, cette fois, du Saint-Honoré. Une "mention spéciale" fut accordée à Victoria à l’issue de la dégustation. Pour sa toute dernière technique, Mercotte demanda une Charlotte princière à l’ananas. Margot y signera une sixième victoire d’affilée ! Lors de l’épreuve créative, le chef Christophe Michalak rejoignit le jury. Les candidats disposaient de trois heures pour imaginer leur plus beau gâteau de fête. Après délibération, le jury a sacré Margot, future autrice de son propre livre de recettes. "Au départ, on n’a pas forcément vu le potentiel de chacun parce qu’il y avait un niveau très homogène, a assumé Mercotte. Au début, Margot faisait des revisites un peu exagérées [...] Mais elle a compris qu’il ne fallait peut-être pas aller si loin pour nous plaire [...] Margot a vraiment mérité cette victoire."

C'est avec sa petite sœur que la gagnante du Meilleur pâtissier 2025 regarde l'émission depuis la saison 1. Elle ne pâtissait pas du tout contrairement à sa cadette. "Plus jeune, elle aurait bien aimé. Maintenant, elle a un travail qui lui prend tellement de temps qu’elle ne l’envisage plus, confie Margot à Télé-Loisirs. Et elle était super contente que je participe parce qu’on a suivi le concours ensemble. On a pu le partager. Et comme elle ne pâtisse plus du tout aujourd’hui, c’était cool à vivre ensemble." Ce sont ses collègues qui l'ont poussée à s'inscrire alors qu'elle s'est mise à pâtisser il y a quelques petites années.

Margot, gagnante du Meilleur pâtissier 2025 : "Il fallait écrire un livre en un mois et demi, en premier trimestre de grossesse"

Et il lui en aura fallu de l'énergie pour tenir la cadence jusqu'au bout. Il se trouve que la gagnante du Meilleur pâtissier a découvert qu'elle était enceinte moins d'une semaine après le tournage de la finale. "On essayait déjà avec mon conjoint. On s’était dit, presque pour plaisanter que ce serait bien que ça tombe entre le tournage et le mariage. Quatre jours après la finale, j’apprends que je suis enceinte. La semaine juste après, le test est positif. C’était incroyable", livre-t-elle à Télé-Loisirs. Une période intense pour Margot, qui a dû enchaîner avec la rédaction de son livre de recette : "On m'a laissé six ou sept jours de repos après la finale, puis on a enchaîné. Il fallait écrire un livre en un mois et demi : quarante recettes à réfléchir, rédiger, puis une semaine de shooting photo à Paris où j’ai dû refaire les quarante recettes. Le tout en premier trimestre de grossesse. Mais j'étais accompagnée par une éditrice de M6 éditions, Hélène. Et la collaboration s'est très bien passée. Il a fallu gérer la fatigue de fin de tournage, la rédaction du livre, le premier trimestre, les interviews, le boulot, les réseaux sociaux… Mais c'était une super expérience et tout va bien !"

Le public pourra notamment retrouver dans l'ouvrage de pâtisserie de Margot sa recette-signature, l'entremets citron-noisette. "C'est le tout premier dessert que j'ai fait pour la toute première épreuve créative", rappelle l'autrice. Par ailleurs, c'est un petit garçon que le couple de trentenaires attend a priori pour le printemps.

Découvrez en images : Le Meilleur Pâtissier 2025 : voici les candidats de la saison 14

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Thomas Laborde

C’est une chance, non, de me présenter ici. Une grande chance. Parce que tout au long de ma carrière, j’ai réussi, la plupart du temps, à répondre à un de mes grands besoins : certes voyager, beaucoup, mais surtout parler de télé, de séries, de films, en faire mon quotidien. Et, de ce fait, en voir encore plus. Toujours plus. Je n’ai pas attendu les replays et les plateformes pour me gaver de créations en tout genre, je me souviens des soirées et nuits devant Téva, Série Club et RTL9. Des matins devant TF1, France 3, des après-midi sur M6 : du Club Dorothée à C’est pas sorcier, des Minikeums à M6 Kid. Sans oublier Qui est qui ? à l’année et Intervilles comme Fort Boyard, chaque été. Plus tard, à peine, vinrent Nulle Part Ailleurs et Les enfants de la télé puis On a tout essayé. Et j’ai tout essayé, tout regardé. J’avais la chance aussi d’avoir Canal+ à la maison, j’ai suivi en linéaire chaque jeudi soir dès le début Desperate Housewives. Deux petits épisodes par semaine, l’enfer ! Un enfer que les plateformes s’amusent à nous faire vivre à nouveau ! Mobland sur myCANAL m’a fait vriller : un épisode par semaine… Et rebelotte avec la saison 4 de Morning Show puis la première de Ça : Bienvenue à Derry. Aujourd’hui, j’ai une évidente affection pour HBO Max, pour Netflix, celle qui a tout bousculé, où je trouve des plaisirs pas du tout coupable comme Outer Banks et cet immense kiff gothico-ado de Mercredi, je remercie Disney+ pour l’immersion poussé dans les univers Star Wars mais aussi pour la spectaculaire The Bear, Apple TV+ me stupéfait par la qualité visuelle des objets que l’on y trouve, Severance en tête, et coucou Ted Lasso, Prime casse les codes avec du flux, tout comme Netflix. Non sans délaisser le petit écran, l’originel, la télévision. J’y apprécie toujours autant les magazines de voyages, les talk-shows, les différents formats reportages. Je ne rate jamais non plus Top Chef, Drag Race, Les Rencontres du Papotin et petit plaisir pas du tout coupable non plus, Cauchemar en cuisine, ou quand la télé peut vraiment donner un coup de main. On a tout essayé, oui, et on a tout aimé, voilà, voilà.

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