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Alors que la saison 6 de L'Agence : l'immobilier de luxe en famille bat son plein sur TMC, le benjamin de la fratrie Kretz vient de franchir une étape décisive. Sur son compte LinkedIn, Raphaël a annoncé une bonne nouvelle.
Pour les téléspectateurs assidus de TMC, Raphaël est le visage de la nouvelle génération de L'Agence. Si ses frères Martin, Valentin et Louis ont déjà fait leurs preuves, la saison 6 de l'émission lancée le jeudi 20 novembre dernier suit de près l'évolution du petit dernier. Et ce n'est pas parce qu'il est le plus jeune qu'il n'a pas les capacités de vendre les plus beaux biens ! Le public le voit d'ailleurs de plus en plus aux quatre coins du monde pour des visites plus époustouflantes les unes que les autres, notamment en Afrique du Sud cette semaine.
Ce jeudi 11 décembre, c’est sur LinkedIn que Raphaël a pris la parole pour annoncer une grande nouvelle : il est diplômé ! Comme beaucoup d'étudiants, le benjamin des Kretz a d'abord hésité. "Après mon bac, je me suis lancé dans une double licence droit gestion. Un choix logique, rassurant… Surtout parce que mon frère Martin m’y poussait", confie-t-il. Pourtant, la réalité universitaire ne correspondait pas à ses aspirations. "Très vite, j’ai compris que ce n’était pas pour moi : trop abstrait, trop loin du concret. Et le concret, je l’ai toujours trouvé dans l’immobilier."
"Un moment à part" : Raphaël Kretz (L'Agence) partage son bonheur
C’est ainsi qu’il a opéré un virage stratégique vers l'ESPI Paris pour obtenir un Bachelor en gestion des affaires immobilières, qu'il décrit comme "un vrai métier de terrain". Pour lui, l'immersion a été totale grâce à "une alternance pour plonger directement dans la réalité du quotidien". Il se souvient de ses débuts : "Dès la première année, j’ai participé à mes premières visites et j’ai commencé à comprendre le métier au contact du réel." Si intégrer l'agence de ses parents semble être une suite logique pour un Kretz, Raphaël tient à nuancer. "Et puis il y avait cette évidence : travailler en famille. On me demande souvent si c’est simple. La réponse est… oui et non. Oui, parce qu’il n’y a aucune barrière. On apprend plus vite. On reçoit des conseils francs, positifs comme négatifs, et on sait qu’ils viennent du bon endroit. Non, parce que ça demande d’être irréprochable. De mériter sa place. D’avancer plus vite que les autres."
L'aboutissement de ces "trois ans d’alternance, de vie active, de responsabilités, de terrain" s'est concrétisé lors d'une cérémonie. "La remise des diplômes restera un moment à part. Le Théâtre du Châtelet, la salle pleine, mon père parrain de la promotion… Un tournant, un symbole, un moment que je n’oublierai jamais", raconte Raphaël.
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Né dans un coin rural de la Loire à la fin des années 90, à quelques kilomètres des villages où vivent certains des agriculteurs les plus emblématiques de L'amour est dans le pré sur M6, je me souviens avoir grandi avec le poste de télévision (très) souvent allumé. Combien de samedis soir ai-je passé devant Fort Boyard sur France 2 ? L'occasion pour mes parents de me laisser manger une glace au chocolat sur le canapé… Double dose de bonheur ! Je me rappelle aussi de mon excitation à chaque grand lancement d'une saison de la Star Academy sur TF1, de Nikos qui apparaît sur mon écran et des hymnes successifs qui ont façonné la bande originale de mon enfance. La Musique de Nicoletta, Musique de Michel Berger, La bamba de Ritchie Valens chantée par la promotion de la saison 3. Le tout premier concert de ma vie à la Halle Tony Garnier de Lyon. Au fil des années, je me repasse en boucle chaque prestation de Myriam Abel, Amandine Bourgeois et Yseult dans Nouvelle Star, je « jibule » devant chaque trahison dans Koh-Lanta, je soutiens fougueusement chaque représentant de la France à l'Eurovision (sauf les Twin Twin) et je salive à chaque dégustation de Top Chef. Journaliste dans un quotidien national pour ma toute première expérience professionnelle, j'ai des étoiles dans les yeux lorsque je me rends sur un plateau de tournage ou lorsque j'interviewe un candidat ou un animateur. Lorsque j'arrive à la rédaction de Télé-Loisirs à la rentrée 2022, je suis tout de suite dans le grand bain avec un reportage à Dammarie-les-Lys pour le retour de la Star Academy. Le rêve se poursuit… Et il ne s'est pas arrêté là. J'ai assisté à la passation de pouvoirs entre Sophie Davant et Julia Vignali dans Affaire conclue, j'ai dîné à la table de la finale de Top Chef, je me suis rendu à l'Élysée, j'ai partagé un repas avec Frédéric Lopez dans sa maison à la campagne (mais pas un dimanche). Le reportage le plus cher à mon cœur est et restera le voyage de préparation des 30 candidates à Miss France 2024 à l'autre bout du monde, en Guyane, et l'élection d'Ève Gilles à Dijon un mois plus tard. Le souvenir de la clameur du public dans ce zénith me donne encore la chair de poule. Maintenant que je ne suis plus un enfant, je passe mes dimanches soir devant Zone Interdite et Capital, je dîne devant C à vous et Quotidien et il m'arrive de rattraper Quelle Époque en replay parce que vraiment, ce programme se finit trop tard dans la nuit. Mais depuis mes premiers souvenirs de télé, une chose n'a pas changé : je suis toujours aussi émerveillé par chaque programme, comme l'était le petit garçon que j'étais.
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