Comparatif rapide des meilleurs antivirus pour Mac en 2025
Performances et comportement sur macOS
Dans l’usage de tous les jours, ce sont les détails qui comptent. Les personnes en quête d’un outil simple à installer sur macOS remarquent vite qu’Avast mise sur une interface limpide. Elle accompagne chaque étape et aide à sécuriser les données, que ce soit lors d’un téléchargement ou d’une session de navigation.
Le top 4 des solutions de sécurité pour Mac
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Les outils intégrés, comme l’analyse des malwares ou les alertes sur des comportements suspects, restent faciles à comprendre, même pour quelqu’un qui ne veut pas passer ses soirées dans les réglages. L’abonnement annuel commence généralement autour de 21,90 €/an, selon la version choisie, avec les conditions de renouvellement indiquées directement dans le tableau récapitulatif lors de l’achat.
Plus premium, Norton met l’accent sur un ensemble de fonctionnalités qui aident à améliorer la confidentialité en ligne : surveillance d’activité risquée, protection des appareils connectés au compte, outils complémentaires pour une navigation plus sereine. Là aussi, on retrouve des prix affichés sans ambiguïté : par exemple, certaines formules débutent aux alentours de 19,99 €/an, avec la possibilité d’ajouter un VPN ou un gestionnaire de mots de passe selon la version. Les utilisateurs apprécient surtout le support client accessible 24h/24 et 7j/7, un point rassurant lorsqu’on veut s’assurer que son appareil reste plus sûr au fil de l’année.
Bitdefender, de son côté, séduit surtout les personnes qui veulent un équilibre entre performances et discrétion. Le logiciel aide à protéger le système en arrière-plan, avec une analyse qui reste fluide même quand plusieurs applications tournent en même temps. Beaucoup apprécient sa façon d’indiquer clairement ce qui se passe : quand un fichier paraît douteux, quand une mise à jour est recommandée, ou quand une activité inhabituelle mérite un second regard. Les tarifs démarrent en général autour de 25 €/an, selon la version choisie, et les conditions de renouvellement sont affichées de manière explicite lors de la souscription.
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De son côté, Surfshark s’adresse plutôt aux utilisateurs qui veulent une approche élargie de la sécurité, avec des outils qui aident à sécuriser aussi bien la navigation web que certaines données personnelles. Les personnes qui jonglent entre Mac, iOS, Android ou même Windows apprécient la possibilité de relier plusieurs appareils au même abonnement, ce qui simplifie beaucoup la gestion au quotidien. Ses formules, souvent positionnées autour de 53 €/an, sont proposées avec des informations tarifaires détaillées et un résumé clair des options incluses, notamment lorsqu’un VPN ou d’autres services annexes peuvent être activés selon la version choisie.
Pour quel type d’utilisateur ?
Sans dresser de portrait rigide, quelques tendances se dégagent naturellement :
Pour les personnes en quête de simplicité et qui veulent un logiciel facile à prendre en main, avec une version gratuite pour essayer avant de s’engager, se tournent souvent vers Avast. Son interface reste accessible, même pour celles et ceux qui utilisent surtout leur Mac pour naviguer ou gérer leurs fichiers du quotidien.
De leur côté, les utilisateurs qui passent constamment d’un appareil à l’autre (Mac, iPhone, Android, voire Windows) apprécient que Norton propose, dans certaines offres, une protection multi-appareils. Cela leur permet de garder une sécurité cohérente partout.
Enfin, ceux qui souhaitent une vision plus complète de leur protection, avec des services comme un VPN ou un gestionnaire de mots de passe, se dirigent généralement vers les formules premium.
Compatibilité, versions et transparence tarifaire
Sur macOS, la majorité des solutions récentes s’intègrent sans difficulté particulière, mais , vous l'avez bien compris, les versions diffèrent en fonction de ce que recherche l’utilisateur. Certaines se concentrent sur une analyse régulière des malwares, d’autres ajoutent des outils qui aident à sécuriser le web ou à surveiller des activités inhabituelles dans le système. Les pages de téléchargement mettent en avant les prix exacts, les versions disponibles et les conditions de renouvellement, un point essentiel pour éviter les surprises à la date anniversaire de l’abonnement.
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Les utilisateurs les plus attentifs regardent aussi les petites options annexes : disponibilité d’un VPN, compatibilité avec iOS ou Android, possibilité de gérer plusieurs appareils depuis une même ligne d’abonnement, ou encore les fonctionnalités premium activables selon les besoins. Ce sont souvent ces éléments, pas forcément visibles au premier coup d’œil, qui influencent le choix final, car ils modifient la façon dont le logiciel accompagne l’utilisateur au quotidien pour l’aider à rester plus en sécurité en ligne.
Lire entre les lignes… et entre les fonctionnalités
Quand on compare des antivirus pour macOS, on se rend vite compte que les mots se ressemblent ( protection, malwares, security, logiciel premium, vpn, version free…) mais que l’expérience, elle, varie énormément. On ouvre son Mac un matin, un peu pressé, on lance un téléchargement, et là on se demande si l’antivirus installé va aider à protéger l’appareil sans transformer le système en vieille machine Windows de l’époque du lycée. Parfois tout se passe bien, parfois, on sent que le logiciel n’a pas été pensé pour le quotidien d’un utilisateur qui slalome entre fichiers, onglets web et appareils iOS ou Android.
Ce qui fait la différence, c’est d’abord la protection en temps réel. Pas celle qui promet de tout bloquer, aucune solution ne peut garantir ça mais celle qui réagit avec justesse quand un virus tente de s’inviter dans un fichier un peu louche. Un logiciel comme Avast, par exemple, aide à sécuriser le Mac en surveillant ce qui transite en arrière-plan, sans qu’on ait besoin de devenir gestionnaire de paramètres. Et là on se dit : tant que ça reste fluide, c’est déjà beaucoup.
Les malwares spécifiques à macOS, un détail qui ne l’est pas
On l’oublie souvent, mais les malwares ne se présentent pas tout à fait de la même manière sur Mac et sur Windows. Certaines solutions, comme Intego ou Bitdefender, mettent en avant leur capacité à repérer ces menaces adaptées à macOS. Rien d’alarmant, juste un rappel que le système évolue, et que les logiciels doivent suivre.
En revanche, si l’analyse ralentit tout, on finit par désactiver la protection… ce qui annule l’intérêt. Un bon équilibre, c’est ça : un appareil protégé, mais qui reste agréable à utiliser au quotidien.
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Qui n’a jamais lancé un scan au mauvais moment ? On travaille, on a 14 onglets ouverts, un VPN activé, un tableau en ligne, quelques fichiers en transit… et là, l’antivirus décide de faire un test complet comme si on avait tout le temps du monde. Les solutions récentes, qu’il s’agisse de Norton, AVG ou McAfee, tentent de limiter cet effet en adaptant l’effort du logiciel à l’activité du système. Parfois ça fonctionne vraiment bien, parfois moins, mais c’est un critère essentiel à vérifier avant de choisir un abonnement.
Petite astuce : un antivirus premium bien réglé peut se montrer plus discret qu’une version free trop bavarde.
Les mises à jour automatiques, qu’on néglige toujours
Elles ont l’air anodines, et pourtant… Sans mises à jour régulières, impossible de suivre les menaces de l’année. On voit parfois une petite notification passer, « mise à jour disponible » et on clique plus tard, puis encore plus tard, jusqu’à la fameuse date où l’on se demande si tout est encore à jour. La plupart des logiciels modernes, qu’ils soient de type free, premium ou intégrés à une offre spéciale, permettent d’activer une mise à jour automatique. C’est le genre de fonction discrète mais essentielle, qui aide à garder un système plus sûr sans y penser.
Ergonomie, support et ce qu’on ne voit pas au premier regard
On parle souvent de facilité d’utilisation, mais elle ne se résume pas à de jolis menus. Un logiciel efficace, c’est celui qui explique clairement ce qui se passe : pourquoi un fichier est mis en quarantaine, comment interpréter un test, ou encore où trouver les détails de l’abonnement et des conditions de renouvellement. Certains utilisateurs apprécient que les informations importantes, prix, fonctionnalités, options premium, soient affichées sans devoir fouiller dans les petits « dessous » du logiciel.
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Le support client, lui aussi, pèse dans la balance. Savoir que l’aide est disponible 24h/24 et 7j/7 peut changer la perception qu’on a d’un antivirus, surtout lorsqu’on utilise plusieurs appareils connectés. Norton met particulièrement en avant cette disponibilité, ce qui rassure les personnes qui veulent un accompagnement simple et direct.
En pratique, que faut-il vraiment regarder ?
Plutôt que de cocher des cases, mieux vaut se poser deux ou trois vraies questions :
• Est-ce que le logiciel aide à protéger sans ralentir le système ?
• Les mises à jour et les détails de l’abonnement (y compris le renouvellement) sont-ils clairement indiqués ?
• Les fonctionnalités correspondent-elles à mon usage : navigation web, vpn, gestionnaire de mots de passe, protection de plusieurs appareils… ?
Ce n’est pas une science exacte. Parfois un antivirus premium s’impose naturellement, parfois une version free suffit pour l’usage du moment. Mais dans tous les cas, un bon choix, c’est celui qui accompagne votre Mac sans s’imposer, qui reste transparent sur son fonctionnement, et qui aide à rendre votre année un peu plus tranquille, sans jamais promettre l’impossible.
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Avast Premium Security / Avast Ultimate : la formule « tout-en-un » qui aime les packs
Quand on regarde les offres Avast pour Mac, on voit vite que Premium Security et Ultimate visent l’utilisateur qui veut centraliser sa sécurité sans multiplier les logiciels. L’antivirus aide à protéger le système contre les virus et malwares, surveille les sites web douteux, teste le Wi-Fi, bloque le phishing… et, dans la version Ultimate, ajoute un VPN SecureLine, AntiTrack et des outils d’optimisation façon Cleanup Premium. En pratique, ça parle surtout à celles et ceux qui jonglent entre plusieurs appareils (Mac, parfois Windows, Android ou iOS) et qui préfèrent un seul tableau de bord plutôt que trois abonnements séparés.
Le prix de départ est clairement indiqué : par exemple, autour de 21,90 €/an la 1re année pour une formule à 1 PC + 1 appareil mobile, avec un renouvellement ensuite au tarif standard affiché (72,99 €/an ou 104,99 €/an selon l’offre). Les détails de l’abonnement, y compris la reconduction automatique, sont visibles en ligne avant de cliquer sur Acheter. Sous le capot, l’idée est simple : garder l’appareil protégé tout en aidant à améliorer la confidentialité, sans forcer l’utilisateur à devenir expert en security.
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Norton 360 : pour l’utilisateur multi-écrans qui veut tout suivre
Norton 360 s’adresse plutôt à celles et ceux qui vivent éparpillés entre un MacBook, un PC Windows au bureau, un smartphone Android et un iPad à la maison. Dans une seule suite, on retrouve un antivirus qui aide à sécuriser les appareils contre les menaces en ligne (virus, malwares, ransomwares), un VPN intégré, un gestionnaire de mots de passe, et selon la version, des options comme le contrôle parental ou le Dark Web Monitoring. Le tout vise à aider à améliorer la confidentialité et la visibilité sur ce qui se passe autour de vos données.
Côté prix, les formules 360 Standard, Deluxe ou Advanced commencent autour de 34,99 €/an pour la 1re année (jusqu’à 44,99 €/an pour couvrir jusqu’à dix appareils), avec un price de renouvellement plus élevé (74,99 €, 104,99 €, 134,99 €/an) clairement détaillé dans les conditions. Les contrats sont à renouvellement automatique, sauf désactivation dans le compte. Le produit cible l’utilisateur qui veut un environnement structuré, avec un support disponible et des fonctionnalités bien rangées, plutôt que de bricoler plusieurs outils gratuits éparpillés.
Surfshark One + Antivirus : le meilleur rapport qualité/price pour les gros connectés
Avec Surfshark, l’antivirus ne vient pas seul : il est intégré au pack Surfshark One, qui combine VPN, recherche web sans traqueurs, alertes en cas de fuite de données et outils pour créer des identités alternatives en ligne. En clair, on n’achète pas uniquement un logiciel pour scanner des fichiers, mais un kit pensé pour l’usage moderne : streaming, télétravail, navigation sur des réseaux Wi-Fi variés, gestion de plusieurs appareils Mac, Windows, Android, iOS…
L’offre mise sur un abonnement affiché à partir de 2,19 €/mois (avec une grosse promo type Black Friday à la date de consultation), tout en rappelant que ce tarif concerne la première période et que le renouvellement se fait au prix standard, indiqué noir sur blanc sur la page tarifs. L’avantage, ici, c’est cette alliance entre fonctionnalités de privacy (VPN, CleanWeb, Alert) et protection des malwares qui analysent les programmes lors du téléchargement ou de l’installation. Et là on se dit que pour un utilisateur qui vit en ligne en permanence, ce mélange sécurité + confidentialité est plutôt malin.
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Bitdefender : la protection avancée qui reste discrète sur macOS
Bitdefender garde sa réputation de solution très complète pour qui veut une protection avancée sur Mac sans sentir le processeur souffrir à chaque analyse. Les suites Total Security ou Premium Security couvrent plusieurs appareils (jusqu’à cinq dans le cas classique), sur macOS, Windows, Android et iOS, avec une batterie de fonctionnalités : protection contre virus et ransomwares, prévention des arnaques, cryptomining protection, VPN intégré, gestionnaire de mots de passe, outils de filtrage à l’échelle du système…
Les prix sont indiqués clairement : par exemple, Bitdefender Total Security s’affiche autour de 34,99 € la première année (pour un price public de 94,99 €), toujours avec mention de la TVA incluse et des conditions de renouvellement automatique bien visibles dans les mentions. Ce qui séduit, c’est surtout le côté « j’installe, je lance, puis j’oublie », le logiciel aidant à protéger les données en tâche de fond, tout en laissant le système macOS respirer. Quand on passe sa journée à ouvrir des fichiers, à telecharger des archives et à jongler entre onglets, ce côté discret devient vite un critère majeur.
La meilleure option free : Avira pour les besoins essentiels
Tout le monde n’a pas envie – ni le budget – de souscrire tout de suite à un abonnement premium. Dans une situation comme celle-ci, Avira en version free pour Mac peut faire office de base fiable. Le logiciel détecte les menaces les plus répandues, garde un œil sur certaines zones sensibles du système et apporte un niveau de protection supplémentaire lors de la navigation, sans demander le moindre paiement.
Les fonctionnalités plus poussées , VPN enrichi, gestionnaire de mots de passe avancé, ou encore couverture sur plusieurs appareils, restent toutefois accessibles uniquement via les offres payantes, dont les tarifs évoluent selon les packs et les promotions.
Pour quelqu’un qui manipule surtout des documents, consulte ses e-mails, passe quelques commandes en ligne et veut simplement sécuriser un peu son Mac, cette approche gratuite peut suffire pour commencer.Sous les dessous de ce top 5, on pourra aussi garder un œil sur d’autres noms connus comme Intego, AVG ou McAfee, qui proposent leurs propres logiciels et offres pour macOS. L’essentiel, au fond, est de choisir un antivirus adapté à son rythme de vie numérique, à ses appareils et à son année à venir, en lisant bien les détails d’abonnement, de renouvellement et de fonctionnalités… même si la page d’aide bascule parfois en english.
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Egalemet, Avast propose une version gratuite à tester.
Antivirus gratuits pour Mac : efficaces ou pas en 2025 ?
Là où les solutions free se défendent plutôt bien
Sur un Mac, un antivirus gratuit n’est pas forcément un gadget. Dans pas mal de cas, il aide réellement à protéger le système contre les malwares les plus courants, ceux qui se glissent dans un fichier PDF récupéré à la va-vite ou dans une appli téléchargée en dehors du Mac App Store.
Des noms comme Avira, AVG ou la version free d’Avast proposent souvent une base solide : analyse des fichiers, alerte quand un logiciel paraît louche, petite couche de security quand on passe son temps sur le web à telecharger des choses. Pour un étudiant qui utilise surtout son Mac pour du cours en ligne, un peu de streaming et quelques documents à rendre avant la date limite, l’appareil est déjà un peu mieux protégé qu’avec… rien.
Ce que ces solutions font bien, c’est justement ce “premier bouclier” : elles aident à repérer un virus connu, certains scripts suspects, des menaces assez classiques. On installe, on laisse tourner, et on jette un œil de temps en temps au gestionnaire de l’antivirus pour vérifier que tout va bien. Parfois, l’interface passe en english par endroit, parfois la pub pour une offre premium apparaît au mauvais moment, mais dans l’ensemble, on sait à peu près où on met les pieds. Et c’est déjà un plus pour la sécurité du Mac.
Ce qui reste en dessous du radar… et leurs limites
En revanche, il ne faut pas se raconter d’histoires : ces antivirus gratuits n’ont pas les mêmes fonctionnalités que les suites payantes. Ils aident à protéger, oui, mais ils laissent de côté des briques plus avancées : filtres web plus fins, vpn intégré, protection renforcée pour les paiements en ligne, surveillance poussée des données sensibles ou des appareils multiples. Certains ne couvrent qu’un seul appareil, d’autres limitent la fréquence des analyses, d’autres encore affichent de la publicité pour pousser vers un abonnement.
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On pense aussi à tout ce qui tourne autour de la confidentialite : un service comme Norton ou Bitdefender va plus loin avec des modules qui aident à améliorer la protection de l’identité, alors que le gratuit se concentre plutôt sur la détection de malwares. Et pour des environnements plus mixtes ( un MacBook, un PC Windows, un smartphone Android, un iPad sous iOS ) des solutions comme McAfee, Intego ou Bitdefender misent sur des offres multi-appareils, là où le free se limite généralement à un seul écran.
Quand le gratuit suffit (et quand il ne suffit plus)
Dans la vraie vie, le gratuit a tout son sens dans quelques cas très concrets :
• quand le Mac sert surtout à surfer, envoyer des mails, manipuler des fichiers simples, sans compte pro ni données ultra sensibles ;
• quand on découvre tout juste l’univers des antivirus pour macOS et qu’on veut tester un logiciel avant de sortir la carte bancaire ;
• quand le prix est un frein immédiat et qu’une version free d’Avast, Avira ou AVG permet au moins d’ajouter une couche de protection de base.
Dans ces situations, un antivirus gratuit aide à sécuriser l’appareil à moindre prix, avec un renouvellement qui se résume souvent à accepter les mises à jour à la nouvelle année. On garde un œil sur les détails de chaque offre, bien sûr, mais ça reste une porte d’entrée raisonnable.
Dès qu’on commence à accumuler les appareils connectés, à travailler sur des projets pros, à stocker des données clients, ou simplement à multiplier les connexions en déplacement, l’équation change. C’est là que les suites premium, qu’il s’agisse d’Avast Premium Security, de Norton 360 ou d’un pack Bitdefender complet, prennent leur sens, avec un vpn inclus, des protections renforcées pour les paiements en ligne, un suivi plus fin des menaces et un support qui reste disponible en cas de doute. On n’achète plus seulement un antivirus, mais un ensemble d’outils pensés pour garder l’appareil mieux protégé au quotidien.
Au passage, les promos et autres bonnes affaires jouent évidemment leur rôle : une version payante proposée à un prix réduit la première année peut faire hésiter moins longtemps. Reste à bien vérifier les conditions de renouvellement et les tarifs après promo, histoire de ne pas découvrir, à la date anniversaire, un price qui a doublé sans prévenir. Les éditeurs sérieux mettent ces infos noir sur blanc sur leurs pages, et c’est à cet endroit qu’il faut descendre “tout en bas” pour lire ce qu’il y a vraiment là-dessous.
Au final, la frontière entre free et premium n’est pas une ligne nette mais un curseur : plus on a de données à protéger, plus on dépend du système pour travailler, plus on jongle entre Mac, Windows, Android et iOS, et plus les limites du gratuit se voient. Le bon réflexe, c’est de commencer par évaluer son usage, puis de choisir : un antivirus free pour couvrir les bases, ou un pack plus complet qui aide à gérer les risques au fil des années, sans devoir devenir expert en cybersécurité.

il y a 2 day
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