« Il s’agit bien sûr d’aider l’Ukraine, mais aussi d’envoyer un signal clair à la Russie pour lui faire comprendre que nous allons utiliser les moyens dont nous disposons pour mettre fin à cette guerre le plus rapidement possible », a déclaré mercredi le chancelier allemand. Les dirigeants européens se retrouvent jeudi et vendredi à Bruxelles.
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Les Etats-Unis préparent de nouvelles sanctions contre la Russie si cette dernière rejette l’accord de paix
Les Etats-Unis se préparent à imposer de nouvelles sanctions contre le secteur énergétique russe si Vladimir Poutine rejette un accord de paix avec l’Ukraine, rapportent les agences Bloomberg et Reuters, mercredi, citant des sources proches du dossier.
Washington envisage notamment de cibler la flotte fantôme de pétroliers utilisée par la Russie pour exporter son pétrole, ainsi que les intermédiaires facilitant ces transactions. Ces mesures pourraient être annoncées dès cette semaine, selon plusieurs sources.
Le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent, a évoqué ces options lors d’une rencontre récente avec des ambassadeurs européens. La Maison Blanche a toutefois rappelé qu’aucune décision n’avait encore été prise et que le choix final appartenait au président Donald Trump.
Le Kremlin s’est dit au courant de ces discussions. « Toute sanction est nuisible au processus de rétablissement des relations », a déclaré le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, cité par les agences russes. Depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022, les sanctions occidentales n’ont pas modifié la stratégie du Kremlin, mais celles visant le pétrole russe ont accentué la pression sur une économie déjà fragilisée.
Ces discussions interviennent alors que des négociateurs américains et ukrainiens ont enregistré des avancées cette semaine sur un éventuel accord de paix.
Friedrich Merz appelle l’UE à utiliser les avoirs russes gelés pour « intensifier la pression sur Poutine »
Friedrich Merz au Bundestag, mercredi 17 décembre 2025. A la veille d’un sommet des dirigeants européens appelés à trancher sur le sujet à Bruxelles, le chancelier allemand a appelé, mercredi, l’UE à utiliser les avoirs russes gelés pour le financement de l’Ukraine en guerre. « La pression sur Poutine doit encore s’intensifier pour l’amener à négocier sérieusement, et c’est pour cela que nous avons besoin de la décision des chefs d’État et de gouvernement européens », a martelé Friedrich Merz devant les députés allemands à Berlin, avant de s’envoler pour Bruxelles.
« Il s’agit bien sûr d’aider l’Ukraine, mais aussi d’envoyer un signal clair à la Russie pour lui faire comprendre que nous allons utiliser les moyens dont nous disposons pour mettre fin à cette guerre le plus rapidement possible », a ajouté le dirigeant allemand.
Lundi dans un discours, à l’occasion de la visite à Berlin du président ukrainien, Volodymyr Zelensky il a jugé que l’UE serait durablement discréditée si elle n’arrivait pas à s’entendre sur l’utilisation de ces avoirs : « Si nous n’arrivons pas à le faire, la capacité d’action de l’Union européenne sera gravement compromise pour des années, et même plus longtemps. Et nous montrerions au monde que nous sommes incapables de nous unir et d’agir à un moment aussi crucial de notre histoire », a ajouté M. Merz.
Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne se retrouvent jeudi et vendredi à Bruxelles pour décider, entre autres, des moyens de financer au cours des deux ans à venir l’Ukraine en guerre contre la Russie.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, promeut un plan visant à utiliser les avoirs gelés russes pour accorder à Kiev un prêt de 90 milliards d’euros au cours des deux prochaines années, mais cette initiative se heurte à une opposition farouche de la Belgique, qui héberge la majeure partie des fonds. Elle redoute des représailles russes ou d’être le seul pays à payer les pots cassés, notamment en cas d’action en justice.
Cargo russe gelé à Saint-Malo : le tribunal condamne l’armateur Alpha LLC, la vente aux enchères désormais possible
Le tribunal de commerce de Saint-Malo a condamné l’armateur du Vladimir Latyshev, un cargo russe gelé depuis mars 2022 dans le port de Saint-Malo en France, suite aux sanctions européennes contre Moscou. La société russe Alpha LLC, armateur du cargo a été condamnée à payer 125 960 euros au fabricant d’engrais Timac Agro, selon une copie du jugement datée du 16 décembre consultée par l’Agence France Presse (AFP).
De mars 2022 à août 2025, la société malouine Timac Agro a réglé les factures nécessaires au maintien du navire et aux besoins de l’équipage (carburant, électricité, frais de port et vivres pour les marins) mais elle n’était plus remboursée par l’armateur russe depuis février 2025. Le 17 novembre, Alpha LLC a seulement versé un acompte de 30 000 euros à Timac Agro sur sa créance de 156 000 euros environ.
« On va faire signifier le jugement à l’armateur pour savoir s’il fait appel ou s’il paye. Une fois que le jugement sera définitif, s’il ne paye pas, on fera vendre le navire aux enchères », a déclaré à l’AFP Me Christophe Nicolas, avocat de Timac Agro. En cas de vente aux enchères, « le prix de vente devrait être supérieur aux créances », a souligné l’avocat.
Le cargo de 141 mètres de long, construit en 2021 et capable de transporter plus de 11 000 m3 de marchandises, vaudrait entre 15 et 20 millions d’euros, selon David Lebec, directeur financier de l’agent maritime AFCC, société créancière d’un navire identique, le Victor Andryukhin, gelé à Marseille dans le cadre des sanctions européennes.
Le délai d’appel du jugement est d’un à trois mois à compter de sa signification aux parties, selon Me Nicolas. Contactée par l’AFP, l’avocate d’Alpha LLC n’était pas en mesure de réagir dans l’immédiat.
Le point sur la situation, mercredi 17 décembre à 16 heures
- Si l’Ukraine et ses alliés étrangers refusent toute discussion de fond, « la Russie libérera militairement ses territoires historiques », a de nouveau promis Vladimir Poutine, lors d’une réunion élargie du conseil du ministère de la défense.
- L’armée russe a porté ses effectifs à 710 000 soldats dans l’optique d’une « offensive stratégique », avertit le commandant en chef des forces ukrainiennes, Oleksandr Syrsky. « Malgré des pertes importantes, [elle] ne renonce pas à poursuivre ses opérations offensives, bien qu’elle n’ait pas obtenu de succès opérationnels significatifs », écrit-il sur Telegram.
- Des bombardements russes ont fait vingt-neuf blessés, dont cinq enfants âgés de 2 à 13 ans, à Zaporijia, dans le sud de l’Ukraine, selon les autorités locales. Trois personnes sont dans un état grave, précisent-elles.
- L’état d’urgence a été déclaré dans l’oblast d’Odessa en raison des pannes d’électricité provoquées par les bombardements russes, annonce Oleh Kiper, chef de l’administration militaire régionale.
- Les jours qui viennent seront déterminants pour l’aide financière accordée à l’Ukraine, a averti mercredi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à la veille d’un sommet de l’Union consacré notamment à l’utilisation des avoirs russes gelés. La présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, a, quant à elle, évoqué les « risques » concernant l’utilisation de ces avoirs et a demandé des « éclaircissements ».
Vingt-neuf blessés, dont cinq enfants, à Zaporijia, selon un nouveau bilan
Les bombardements russes de mercredi à Zaporijia ont fait vingt-neuf blessés, dont cinq enfants âgés de 2 à 13 ans, selon un nouveau bilan communiqué par Ivan Fedorov, chef de l’administration militaire de l’oblast. Trois personnes sont en état grave, précise-t-il.
Sur Le Monde aujourd’hui
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Des images satellitaires montrent des dégâts importants dans le port russe où les services spéciaux ukrainiens disent avoir endommagé un sous-marin
Photo satellitaire montrant le sous-marin que le SBU dit avoir endommagé lundi dans le port de Novorossiïsk. ©2025 Vantor De nouvelles photos satellitaires montrent qu’une partie importante du quai de Novorossiïsk, où était amarré le sous-marin russe que le Service de sécurité d’Ukraine (SBU) dit avoir touché lundi à l’aide d’un drone, a été endommagée.
Ces photos concordent avec les images diffusées par le SBU, souligne The War Zone, site d’information et d’analyse consacré au secteur de la défense. Elles confirment, en outre, que l’explosion s’est produite à l’arrière du sous-marin de classe Kilo et montrent qu’il n’a pas été déplacé, alors que deux autres, amarrés à proximité lors de l’attaque, n’y sont plus visibles.
Selon le SBU, l’opération a été menée à l’aide d’une version sous-marine du drone Sea Baby. Le ministère de la défense russe a diffusé une vidéo censée montrer que le sous-marin est intact, mais la poupe n’y est pas visible car l’arrière-plan est flouté, et on y distingue ce qui semble être des amas de gravats sur le quai.
Londres somme Roman Abramovitch de verser le fruit de la vente du Chelsea FC à l’Ukraine
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, a menacé mercredi l’oligarque russe Roman Abramovitch de saisir la justice si l’ex-propriétaire du club de football de Chelsea ne consent pas à donner à l’Ukraine les 2,5 milliards de livres (2,8 milliards d’euros) issus de la vente du club.
« Mon message à Abramovitch est le suivant : le temps presse », a-t-il déclaré à Chambre des communes. « Honorez l’engagement que vous avez pris et payez maintenant. Sinon, nous sommes prêts à aller devant les tribunaux pour que chaque centime aille à ceux dont la vie a été détruite par la guerre menée par [le président russe Vladimir] Poutine » en Ukraine, a-t-il ajouté.
Keir Starmer a ajouté que le gouvernement avait autorisé le transfert de ces fonds, actuellement gelés, à une fondation consacrée à des causes humanitaires en Ukraine. Roman Abramovitch, qui était propriétaire du Chelsea FC depuis 2003, a été sanctionné en mars 2022 par le gouvernement britannique et a été contraint de procéder à la vente du club, acquis en mai 2022 par un consortium dirigé par l’homme d’affaires américain Todd Boehly.
L’évacuation d’un quartier résidentiel de Zaporijia se poursuit, à la suite d’une attaque aérienne russe
Selon l’annonce sur Telegram d’Ivan Fedorov, chef de l’administration militaire régionale de Zaporijia, dans le sud de l’Ukraine, un bombardement russe a fait vingt-six blessés, dont un enfant, touchant plusieurs immeubles d’habitation ainsi qu’un établissement scolaire.
Cela a provoqué des incendies et de nombreux dégâts matériels.
Sur place, dans cette ville proche de la ligne de front, les services de secours ukrainiens ont rapidement déployé des équipes pour dégager les décombres et porter assistance aux victimes.
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Avoirs russes gelés : Giorgia Meloni demande des « éclaircissements »
La présidente du Conseil italien a évoqué, mercredi, les « risques » concernant l’utilisation des avoirs de la banque centrale russe gelés en Europe et a demandé des « éclaircissements » à ce sujet, à la veille d’un sommet européen.
Il s’agit de « décisions complexes qui ne sauraient être imposées », a déclaré Giorgia Meloni devant le Parlement italien. « L’Italie considère évidemment comme sacré le principe selon lequel la Russie doit être le principal contributeur à la reconstruction du pays qu’elle a attaqué, mais ce résultat doit reposer sur un cadre juridique solide », a-t-elle toutefois souligné.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, promeut un plan consistant à utiliser les avoirs gelés russes pour accorder à Kiev un prêt de 90 milliards d’euros sur deux ans, mais cette initiative se heurte à l’opposition farouche de la Belgique, qui héberge la majeure partie des fonds.
Craignant que le projet ne l’expose à des représailles de la part de la Russie, le gouvernement belge réclame des garanties solides de la part des autres Etats membres de l’Union quant au partage des responsabilités juridiques et financières. Les efforts déployés pour le rassurer n’ont jusqu’ici pas permis de sortir de l’impasse, ce qui laisse présager de longues discussions lors du sommet européen des 18 et 19 décembre.
Pannes d’électricité : l’état d’urgence déclaré dans l’oblast d’Odessa
L’état d’urgence a été déclaré dans l’oblast d’Odessa en raison des pannes d’électricité provoquées par les bombardements russes, annonce Oleh Kiper, chef de l’administration militaire régionale.
« La décision a été prise lors d’une réunion de la commission de sécurité technologique et environnementale et des situations d’urgence de l’administration militaire régionale d’Odessa », écrit-il sur Telegram. « Elle a été motivée par les conséquences de l’attaque russe des derniers jours contre des installations énergétiques, qui a entraîné une perturbation prolongée (plus de trois jours) des conditions de vie de plus de 50 000 habitants de la région. »
Une partie supplémentaire du fonds de réserve de l’oblast va être allouée à la constitution de stocks de carburant pour assurer le bon fonctionnement des groupes électrogènes qui alimentent hôpitaux, établissements scolaires, abris et autres installations essentielles, précise Oleh Kiper.
Si l’Ukraine et ses alliés étrangers refusent toute discussion de fond, « la Russie libérera militairement ses territoires historiques », promet à nouveau Vladimir Poutine
Le président russe, Vladimir Poutine, lors d’une réunion élargie du conseil du ministère de la défense, à Moscou, le 17 décembre 2025. « Les objectifs de l’opération militaire spéciale seront sans aucun doute atteints », a déclaré mercredi le président russe, Vladimir Poutine, lors d’une réunion élargie du conseil du ministère de la défense.
« Nous préférerions y parvenir et éliminer les causes profondes du conflit par la voie diplomatique. Si toutefois la partie adverse et ses protecteurs étrangers refusent toute discussion sur le fond, la Russie obtiendra la libération de ses terres historiques par la voie militaire. La tâche consistant à créer et à étendre une zone tampon de sécurité sera également menée à bien de manière cohérente », a-t-il poursuivi, selon une retranscription de son discours publiée sur le site du Kremlin.
« Cette année, plus de 300 localités ont déjà été libérées, dont des villes importantes que l’ennemi avait transformées en places fortes, bardées de fortifications permanentes. Elles se sont révélées impuissantes face au courage et à l’habileté militaire de nos soldats. Les positions conquises, les têtes de pont établies ces derniers mois et, bien sûr, l’expérience tactique et opérationnelle unique acquise en perçant les profondes défenses ennemies nous permettent d’accélérer le rythme de l’offensive dans des zones stratégiques », avait auparavant assuré le chef de l’Etat.
L’interdiction des importations de gaz russe d’ici à l’automne 2027 approuvée au Parlement européen
Les eurodéputés ont définitivement adopté mercredi l’interdiction de toutes les importations de gaz russe dans l’Union européenne à l’automne 2027 au plus tard. Le texte, approuvé à une large majorité, doit encore obtenir un ultime aval des Etats membres. Ils doivent se prononcer à la majorité qualifiée, ce qui devrait être une formalité.
De nouvelles sanctions à l’étude à Washington si Moscou rejette l’offre de règlement du conflit, selon Bloomberg
Les Etats-Unis préparent une nouvelle série de sanctions contre le secteur énergétique russe afin d’accroître la pression sur Moscou si Vladimir Poutine rejette les propositions avancées pour mettre fin à la guerre en Ukraine, rapporte l’agence Bloomberg, qui cite des sources au fait du dossier.
L’administration américaine envisage des options telles que le ciblage des pétroliers de la « flotte fantôme » russe, ainsi que des intermédiaires qui facilitent l’achat de brut russe, précise l’agence. Les nouvelles mesures pourraient être annoncées dès cette semaine, selon Bloomberg.
Le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent, en a discuté avec un groupe d’ambassadeurs européens, en début de semaine, précise l’agence. « Le président Trump est le président de la paix, et j’ai réaffirmé que, sous sa direction, les Etats-Unis continueraient à donner la priorité à la fin de la guerre en Ukraine », a-t-il écrit sur X après la réunion.
Vingt-six civils blessés dans un bombardement russe à Zaporijia, selon les autorités locales
Un bombardement russe a fait 26 blessés, dont un enfant, à Zaporijia, dans le sud de l’Ukraine, où des immeubles d’habitation et un établissement scolaire ont été touchés, annonce le chef de l’administration militaire régionale, Ivan Fedorov, sur Telegram.
Une offensive russe « stratégique » en préparation, selon le commandant en chef de l’armée ukrainienne
L’armée russe a porté ses effectifs à 710 000 soldats dans l’optique d’une « offensive stratégique », avertit le commandant en chef des forces ukrainiennes, Oleksandr Syrsky.
« Malgré des pertes importantes, [elle] ne renonce pas à poursuivre ses opérations offensives, bien qu’elle n’ait pas obtenu de succès opérationnels significatifs », écrit-il sur Telegram, sans plus de précisions.
Le général Syrsky assure en outre que les contre-offensives menées par son armée à Pokrovsk, dans l’oblast de Donetsk, lui ont permis de reprendre 16 kilomètres carrés dans le nord de la ville et 56 kilomètres carrés à sa périphérie ouest, dans les secteurs de Hryshyne, Kotlyne et Oudatchne.
Koupiansk, dans l’oblast de Kharkiv, est, par ailleurs contrôlée à 90 %, poursuit-il, alors que l’armée russe avait à nouveau assuré la veille qu’elle tenait la ville, dont elle a annoncé la prise en novembre. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dit s’y être rendu vendredi pour le démentir.
Sur la ligne de front, auprès des soldats de la 66ᵉ brigade mécanisée indépendante ukrainienne
Moscou annonce la prise d’un village du sud de l’oblast de Dnipropetrovsk
Le ministère de la défense russe annonce la prise de Harasymivka (🚩), localité du sud l’oblast de Dnipropetrovsk située à une vingtaine de kilomètres au nord de Houliaïpole, sur le cours de la Haïtchoul.
« La prise de Guerassimovka a été une étape importante pour la consolidation des unités du groupe Est sur la rive occidentale de la Gaïtchour et a créé les conditions de la poursuite de l’offensive en profondeur dans la région de Dnipropetrovsk », écrit-il sur Telegram, utilisant les noms russes du village et de la rivière.
Selon la carte de l’évolution du front de DeepState, dont la dernière mise à jour est datée de mardi, les forces russes se trouvaient alors à 10 kilomètres de Harassymivka.
Capture d’écran de la carte de DeepState. Le ministère de la défense russe annonce l’interception de 94 drones ukrainiens
Quatre-vingt-quatorze drones ukrainiens ont été interceptés la nuit dernière en Russie, dont 31 dans le kraï de Krasnodar, 22 dans l’oblast de Rostov et 10 dans celui de Voronej, annonce le ministre de la défense. L’armée ukrainienne avait auparavant annoncé avoir touché une raffinerie dans le kraï de Krasnodar et un dépôt pétrolier de l’oblast de Rostov.
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