Pour Olivier Jacq, ancien lieutenant de vaisseau de la Marine nationale et expert en cybersécurité maritime, l’infection par un logiciel malveillant, comme évoqué dans le cas du « Fantastic » au cœur d’une affaire de cybercriminalité, ne suffit pas à détourner un bateau.

Ils ont déployé un outil informatique sophistiqué et surtout inconnu. Deux hommes soupçonnés d’être des espions auraient réussi à infecter le système informatique du ferry « Fantastic » avec un dispositif malveillant. Les enquêteurs de la DGSI estiment qu’ils auraient même pu prendre le contrôle du navire pour mener une opération.
Qu’est-ce qu’un Remote Access Tool (RAT), le logiciel retrouvé dans le système informatique du « Fantastic » ?




