
Publié le 11/12/2025 à 17:50
Ce samedi 6 décembre, Hinaupoko Devèze a vu sa vie basculer sur TF1 devant la France entière. La jeune femme est devenue Miss France 2026 et a vécu un véritable tourbillon. Découvrez de quoi était composé et à qui s’adressait son premier message après son élection.
À 00h45 ce samedi 6 décembre, Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti 2025, est devenue Miss France 2026 devant près de 7 millions de personnes sur TF1 et un Zénith d'Amiens comble. Couronnée par Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025, la jeune femme de 23 ans est entrée dans une nouvelle dimension, voyant sa vie totalement basculer et vivant des heures très intenses suivant son sacre. Depuis son élection devant Miss Nouvelle-Calédonie, celle qui compte sur Camille Cerf comme marraine pour son année de règne enchaîne les plateaux de télévision et de radio. Ce mercredi 10 décembre, elle était l’invitée d’Alexandre Devoise et Tiffany Bonvoisin dans le Réveil Chérie sur Chérie FM.
"Je n’ai pas touché à mon téléphone de la soirée" : Miss France 2026 raconte les instants à la suite de son sacre
Une émission dans laquelle la co-animatrice lui a révélé que c’était sa favorite mais lui a surtout demandé quel était le premier message qu’elle avait reçu et envoyé après sa victoire. Une question à laquelle la reine de beauté a répondu avec tous les détails. "Je n’ai pas touché à mon téléphone de la soirée. Le téléphone, on ne le voit pas. Juste après l’élection, on est pris dans un tourbillon, ça s’enchaîne, on fait des séances photos, on se retrouve aussi face à la presse. Donc je n’ai pas trop touché à mon téléphone, je ne me souviens pas du premier message que j’ai reçu. J’en ai reçu plein d’un coup. Et le premier message que j’ai envoyé c’est : ‘maman t’es où ?'", dévoile-t-elle. Un message mignon adressé à sa mère dont elle semble être très proche. Le 9 décembre, sur le plateau de Bonjour ! La matinale TF1, elle a fondu en larmes en découvrant les images de sa mère venant la féliciter après sa victoire. "Excusez-moi, je suis un peu émue de voir ces vidéos, car, ma maman, je ne l’ai pas beaucoup vue depuis que je suis entrée dans cet engouement Miss France."
Par la suite, elle a développé sur le rôle de sa mère dans son succès : "Ma mère m’a toujours soutenue depuis que je suis petite, elle a toujours essayé de booster cette confiance que souvent je n’avais pas. Elle a souvent essayé de me rassurer, elle m’a surprotégée, c’est une maman poule." Un soutien maternel qui lui sera plus qu’utile au cours de cette année 2026 qui sera intense pour elle.
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Je n’ai que 22 ans et pourtant je suis fan de télévision. Eh oui, la Génération Z regarde encore la télévision. Nous sommes de moins en moins, je vous l’accorde, mais nous résistons ! Je ne me souviens pas de la première fois que je me suis retrouvé devant un poste de télé. Elle a toujours été a minima en fond. Avec des dessins animés, forcément, en commençant avec Mickey pour finir rapidement vers tout ce qui tourne autour du football. Foot 2 Rue, Galactik Football ou Inazuma Eleven, des fictions qui ont fortement contribué à ma passion la plus toxique, l’Olympique de Marseille. Car si selon certains je suis trop jeune pour regarder des programmes télé, ce qui est sûr c’est que je le suis pour avoir connu l’heure de gloire de ce club. Mais bon, à force de patienter la victoire ne sera que plus belle. Ma passion pour le petit écran me vient surtout de ma grand-mère. C’est avec elle que j’aimais le plus rester sur le canapé. En sa compagnie, j’ai découvert des émissions cultes encore à l’antenne comme La France a un incroyable talent ou Pékin Express. Mais ce qu’elle préférait c’était les fictions comme Joséphine Ange gardien ou ce qui est ma madeleine de Proust, Plus belle la vie. À une période, je suivais beaucoup la télé-réalité. Je suis une véritable encyclopédie sur les programmes et candidats entre 2014 et 2020 ! Depuis 2024, j’ai la chance de faire partie de l’équipe de Télé-Loisirs. J’ai pu interroger des personnes que je regardais à la télé petit comme Joan Faggianelli de Gulli, mais aussi des sportifs de haut niveau comme Nicolas Batum ou Luis Fernandez. Mais la plus grande fierté reste d’écrire pour le magazine que lisent mes parents depuis que je suis enfant. (Même si ma mère ne lit pas mes articles).
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