Vidéo. La libération de Boualem Sansal aurait pu faire croire à un dégel durable des relations entre Paris et Alger. La condamnation en appel de Christophe Gleizes remet en cause cette éclaircie.
Publié le 11/12/2025 à 06:00
Après l'euphorie de la libération de Boualem Sansal, après l'émoi suscité par la condamnation en appel de Christophe Gleizes à sept ans de prison ferme par la Cour d'appel de Tizi-Ouzou, où en sont vraiment les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie ?
Embellie fragile ? Dégel contrarié ? Dans cette nouvelle vidéo, Etienne Girard, directeur adjoint de la rédaction de L'Express, raconte d'abord comment les deux diplomaties fâchées ont repris langue après le départ de Bruno Retailleau du ministère de l'Intérieur.
La fin du calvaire pour Boualem Sansal, preuve que le bras de fer ne fonctionne pas avec Alger ? La question est posée, et même relancée depuis le maintien en détention de Christophe Gleizes, décidé le 3 décembre. "On pourrait aussi considérer les méthodes forte et apaisante sont complémentaires, et, utilisées de manière habiles, permettent d'aboutir à un succès diplomatique" précise Etienne Girard dans cette vidéo, à retrouver aussi sur tous nos réseaux sociaux.

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